Par chat

Chattez avec
Alcool Info Service

Par téléphone

Alcool Info Service répond
à vos appels 7 jours sur 7

Contactez-nous

Adresses utiles

Forums pour les consommateurs Télécharger en pdf Imprimer Envoyer à un ami

si on se soutenait ensemble pour arreter ou garder le controle ?

Par Profil supprimé

239 réponses


Profil supprimé - 03/06/2016 à 10h14

Pour moi il n'y eu qu'une seule solution avec différents moyens :
- être suivi par un alcoologue et un psychiatre avec ordonnance et médicaments efficace
- Une cure de sevrage de plus d'un mois
- une post cure
-et ensuite une association de groupe de parole en l'occurence VIE LIBRE

Bon courage

Profil supprimé - 03/06/2016 à 13h52

Bonjour
J'ai 40 ans, je suis un homme, récemment séparé, sans enfants, n'ayant jamais vraiment réussi à bâtir de relations amoureuses satbles: toujours complexes, conflictuelles, douloureuses, problématiques. Et je sais à quel point j'ai ma part de responsabilité la-dedans !
J'ai un niveau socioprofessionnel tout à fait correct, je suis content de ma vie, je me realise plutôt bien.
À côté de cela, j'ai 20 ans de toxicomanie et d'alcoolisme qui me colle aux pattes.. et régulièrement je replonge. En gros un jour sur deux: de très grosses alcoolisations jusqu'au black-out. Il m'est arrivé régulièrement de conduire alcoolisé, toujours besoin de plus, incapable de m'arrêter.
Je viens vers vous pour vous partager tout cela et surtout mon désir d'en finir avec ces alcoolisations qui ne m'amenent jamais rien de bon.
Mon problème est souvent un sentiment de solitude. Quand je bois, j'appelle tout mon répertoire téléphonique. Besoin d'être en lien.
C'est un premier partage.
Je veux passer à autre chose.
Merci.

Profil supprimé - 03/06/2016 à 22h47

bonsoir yox je pense que l'on à tot ou tard le déclic de tout stoppé alors bon courage à toi et si tu as besoin de papoté n'hésite pas bonne soirée

Profil supprimé - 04/06/2016 à 16h03

Bonjour,
Mon surnom est Bébé. J'ai 43 ans. Je suis nouvelle sur ce forum. Ma décision de m'inscrire vient du fait que je n'arrive plus à maîtriser l'arrêt de consommation d'alcool. Je bois en moyenne 2 à 3 verres tous les soirs (pas la journée car je dormirais sinon!). Je travaille dans les pompes funèbres, j'accompagne les familles dans leur deuil pour le parcours des funérailles... J'ai une équipe à manager également. Le soir, après des journées assez épuisantes, je ressens le besoin de boire un verre puis deux ou trois. Et ensuite, je vais me coucher. Je n'ai du coup, pratiquement plus de vie privée. J'ai un caractère assez fort et je ne me reconnais pas face à ce manque de contrôle. Si une personne souhaite faire un bout de chemin à mes côtés pour s'entraider, je suis là...
Merci.

Profil supprimé - 05/06/2016 à 11h26

Bonjour moi aussi je souhaite mon sortir j ai tjr bu mais il y a un an ma consommation a tripler j ai tout détruit autour de moi amitiés couple mais malgré ma prise de conscience je n y arrive pas Je ne sais pas si reprendre un boulot ça m'aidera vu que c a cause d un burn out que j en suis la ! Si quelqu un a des réponses

Profil supprimé - 06/06/2016 à 10h05

Bonjour à tous
Je suis une femme de presque 40 ans et depuis plusieurs semaines j'ai conscience d'avoir un problème avec l'alcool
Je ne bois pas tous les jours mais lorsque je commence je n'arrive pas à m'arrêter
Je commence une soirée en disant aller un verre et je finis en ayant bu un dizaine d'autres .... Et ce problème dure depuis que j'ai commencé à boire de l'alcool en soirée
Premier défi jeudi je sors chez des copines essayer de ne pas boire d'alcool

Profil supprimé - 06/06/2016 à 10h38

Bonjour à toutes et à tous.J'ai 42 ans et je suis en instance de divorce depuis 1 ans et j'ai 2 enfants qui vivent avec leur mère. Je vie chez ma mère le temps de me refaire une santé financière. Je bois depuis que j'ai 17 ans et je bois tous les jours midi/soir whisky ou rhum en moyenne 5 le midi et le soir c'est plus .Ma mère bois aussi un peu moins que moi mais elle est sonner au point que le lendemain elle se souvient plus de la veille tout comme moi d'ailleurs. Il m'arrive de boire en cachette et du temps de mon mariage je le faisais déjà mais pas au point d'être ivres. Aujourd'hui je suis conscient d'être alcoolique et j'en ai marre mais je ne trouve pas le courage d'arrêter. J'en ai parlé avec mon médecin traitant qui m'a conseillé d'aller voir un psychologue ce que j'ai fait ça me fait du bien car j'ai renouer le dialogue avec mes enfants car j'étais fâché contre eux .J'ai fait une prise de sang ce matin je verrai mes résultats cet après midi. J'ai un rendez-vous demain avec un addictologue au CSAPA j'espère qu'il va m'aider. Depuis que je bois j'ai un caractère de merde et je fais que des conneries. J'ai envie de refaire ma vie mais avec ce problème d'alcool c'est inutile. J'ai honte de moi et chaque fois que je bois un verre je ne sais plus m'arrêter. J'ai besoin d'aide.

Profil supprimé - 06/06/2016 à 14h16

Si je puis me permettre une rapide intervention sur ce topic ?

Ne pas hésiter à venir exposer son cas. Cela fait bu bien.

PARLER c'est au moins ça de moins sur notre conscience. Et si ça peut aider, il ne faut pas s'en priver.

Pour moi, je ne vois pas dans des réunions d'alcooliques genre les AA avec tout le respect que je leur dois, mais moi je ne m'y vois pas. J'ai longtemps hésité avant de me confier sur un forum. Question de confiance sans doute.

j'ai découvert ce forum au hasard, il me parait le plus "sérieux", mais ce qui précède n'engage que moi..

Cela "fait du bien" de pouvoir parler, n'hésitez pas. Moi il m'a fallu des années et des années.
Et puis une fois qu'on a osé commencer, je vous assure, cela fait du bien. Ne pas garder en soi ses douleurs liées à ce foutu alcool. Oser en parler ici ou ailleurs. Mais ne pas garder cela pour soi. C'est une calamité que de se confiner dans cet alcool. Parlez !!!

Amicalement


Profil supprimé - 06/06/2016 à 16h32

Parler oui je suis d'accord
Mais souvent quand j'essaie d'en parler avec mon mari par exemple on tombe dans la culpabilisation de mon alcoolisme
Et avec mes amies ça finit toujours par "bah on est toutes des alcolo c'est rigolo" et j'avoue que dans un cas comme dans l'autre il n'y a ni soutien ni prise en compte du ressenti
Vous faites comment vous ?

Répondre au fil Retour