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si on se soutenait ensemble pour arreter ou garder le controle ?

Par Profil supprimé

239 réponses


Profil supprimé - 08/06/2016 à 13h20

Bonjour à tous et à toutes.

Voilà je ré reviens de mon rendez-vous au csapa c'est une expérience que de côtoyer toutes catégories de personnes,vieux,jeunes drogué.Bon après un entretien de 30 minutes ou j'ai raconter ma vie on m'as proposer 4 solutions
1° ère :Entretien régulier avec mon médecin traitant et médication.
2° : Entretien régulier avec un Dr du centre d addictologie avec médication
3°:hospitalisation en l'hôpital de jour avec entretien medical,infirmière,psychologue et activités
4°:hospitalisation en hôpital de nuit avec suivi médical jusqu'au sevrage environ 15 jours

Alors moi j'ai opter pour la deuxième solutions.
Je suis très anxieux et je suis devant le faite accompli que mes démarches commence à prendre formes
J'ai rendez vous le 29 juin à 9h00 pour démarrer mon sevrage.
Je vais profiter de ce laps de temps pour faire mes adieux à l'alcool petit à petit.
Bon courage à tous

Profil supprimé - 08/06/2016 à 15h19

Bravo à toi pour ta prise de conscience qui m'ouvre les yeux.

Je dois me faire hospitaliser.

Profil supprimé - 08/06/2016 à 16h03

Bonjour à toi helbronner

Ne t'inquiète pas on va se soutenir mutuellement. Pour ma part je continue de boire modérément en attendant mon sevrage. J'ai pris conscience de mon problème et je veux l'eradiquer .J'ai la chance de m'être fait aider par une psychologue mais tous ce que j'ai fait comme démarche comme annoncer à mon médecin traitant que je était alcoolique et raconter ma vie à ma psychologue m'ont beaucoup aider .je sais que ça va pas être facile car je suis en instance de divorce et je vis chez ma mère qui qui est alcoolique aussi. Après mon rendez-vous au csapa ce matin j'ai essayé de faire une approche à ma mère de son alcoolisme mais c'est très dure cependant j'ai besoin d'elle au quotidien pour m'aider à ne pas boire sinon je me verrai obligé d'aller en hôpital de nuit. Le tout c'est de se motiver et de trouver un but pour ma part c'est le bien être de mes enfants. Et surtout ma fille de 9 ans qui m'as dit papa quand tu t'es coucher tu sentais l'alcool. La honte pour moi .faut rien lâcher la vie n'est pas un long fleuve tranquille comme on pourrait le croire mais au contraire un défi. Faut se battre pour être heureux au lieu de boire pour être malheureux.
Courage à tous
N'hésitez pas à me contacter si besoin dommage que l'on ne peut pas tchatter en direct ça serait beaucoup mieux lorsque l'on ne se sent pas bien.
La vie vaut le coup d'être vécu ça j'en suis sûre et je voudrais voir un jour mes petits enfants.
Amicalement
Bruno

Profil supprimé - 08/06/2016 à 18h33

Merci pour vos partages sincères et chaleureux.

J'ai envoyé un message à mon "compagnon" pour lui dire que j'allais me faire hospitaliser.

Je n'ai pas l'ombre d'une réaction.

C'est un vrai animal à sang froid.

C'est très dur à vivre.

Merci.

Profil supprimé - 08/06/2016 à 19h49

Bonsoir Helbronner

Ne t'inquiète pas pour sa réaction pense en tous premiers lieu à toi et à ta santé et ton bien être. Il est peut être judicieux de juger son amour pour toi ?
C'est dans les mauvais moments que l'on peut juger l'amour de l'autre.
Prend soin de toi et n'hésite pas à revenir sur le forum pour compter sur notre soutien.
Amicalement
Bruno

Profil supprimé - 09/06/2016 à 11h07

@Nono : bonjour et merci.

Zut, ,j'avais rédigé un long post mais l'envoi n'a pas été effectué.

Je pense que tu as raison. Mais je vais te dire : je m'en fous car moi, je ne l'aime plus et j'ai même du dégoût pour lui.

Il le sait mais ne m'aide pas à partir (on s'était pourtant mis d'accord) mais il ne fait rien. Il sait que je veux le quitter et c'est comme si, il voulait me conserver.

Pour moi, c'est un malade, genre manipulateur et surtout un petit garçon totalement immature.

Je lui en veux beaucoup de ne m'apporter aucun soutien. Seulement me juger.

Je conçois qu'il puisse se sentir démuni devant certaines de mes réactions quand je suis alcoolisée mais je n'apprécie pas le fait qu'il m'ait un jour dit : "... alors que tu es adorable quand tu es sobre".

Ce qu'il ne capte pas, c'est que cette relation a toujours été asymétrique : je suis de nature très généreuse et je donne énormément mais, à force de ne jamais avoir le moindre retour, c'est terminé, je ne lève plus le petit doigt.

Ras le bol de tout faire (même si c'est avec plaisir) sans recevoir la moindre attention. La dernière fois que l'on est sortis ensemble remonte au mois de février (et encore c'était pour aller dans une librairie...)

C'est un con. Il me dégoûte. Je ne cherche plus à comprendre : ça m'a usée.

Bon courage !

Profil supprimé - 10/06/2016 à 04h00

Bonjour,

Alors, hier, j'ai vécu un genre de crise de panique. Je tremblais, j'étais en sueur... J'ai pris RDV chez le médecin vendredi prochain.

D'ici là, comme un sevrage toute seule me fait peur, je vais tenter de contrôler ma consommation.

En parallèle, j'ai eu un échange musclé de sms avec mon "compagnon" au sujet de mon départ. Il n'a plus aucun doute sur le fait que je ne peux plus le supporter, que je dois me soigner et le quitter au plus vite.

Il me dit avoir eu des agences immobilières au téléphone : il ment et ses sms traduisent bien son raisonnement de petit garçon.

Quand je lis : "je ne vois pas l'intérêt de te retenir alors que tu me fais la tête 24 h/24"... Mais il n'a toujours pas compris, ce pauvre idiot, que sa vie de merde me rend cinglée depuis septembre dernier ?

Il faudrait en plus que je sois "tout sourire" ?

Mais quel pauvre con !

Non. Je reste sur cette lancée ne laissant plus la place au moindre doute sur ce que je pense de cette relation à la con et à mon très vif souhait de me barrer en urgence.

Je réussis à me confier sur ma situation, à vous ici mais aussi à l'extérieur. Tant pis si je donne l'impression de raconter ma vie mais ça me permet de vérifier qu'elle est en effet, invivable. Ca me "rassure".

Il est bien "pathologique" : je ne peux pas me tromper à ce point.

Et hier, j'ai voulu marquer une avancée et ne surtout pas qu'il continue à croire que je m'accomode de sa vie de merde.

Non ! Stop !!!!!!!!!!!!!

Concernant l'alcool, je ne peut rien promettre pour ce week-end (malheureusement) mais dès lundi, je vais tenter d'arrêter avant mon RDV chez le médecin.

Déjà, avoir mis les points sur les i à mon "compagnon" hier m'a soulagée.

Son petit jeu de pervers, c'est terminé.

Merci à vous.

patricem - 10/06/2016 à 13h06

Tremblements et sueurs sont des symptômes de sevrage courant. Il y en a d'autres, genre insomnie. Dans mon cas, cela part assez vite (genre 2 jours). Le recours à un médecin traitant pour un support léger à base de valium et de somnifère peut aider à passer plus facilement cette phase. Léger car pas la peine de créer d'autres dépendances...

Tout médecin en consultation libre doit pouvoir aider en attendant de voir un addictologue ou ton médecin traitant.

Courage !

De mon côté, je "fête" mes trois semaines sans une goute d'alcool, suivi une fois par semaine par mon médecin traitant : quand je l'ai appelé pour lui expliquer la nature du problème, il a su trouver un créneau en urgence pour me recevoir...

Profil supprimé - 10/06/2016 à 20h13

@ helbronner

Renseignes toi pour avoir un logement pour bénéficier du FSL Il y a des propriétaires compréhensifs aussi qui acceptes ceux qui ont besoin d'une aide de la CAF.

Perso quand j'ai quitté le Nord Est, j'ai cherché un logement près de Perpignan avec des annonces sur LeBon Coin et j'ai eu pas mal de propositions. (même une chambre ça te permettrais de rebondir et pas trop onéreux)

D'ailleurs une des annonces m'a donné logement ET travail !Parfois il faut provoquer la chance.
Avec ce changement radical, j'ai bu 3 verres en tout et pour tout apres le mariage de ma fille le 18 juillet dernier.

Après je suis un homme, pour une femme vaut mieux une aide extérieure tant pour l'alcool que le logement.

Allez courage pour ce weekend, essayes d'être raisonnable quand même même si c'est difficile seule.

Pat

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