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si on se soutenait ensemble pour arreter ou garder le controle ?

Par Profil supprimé

239 réponses


Profil supprimé - 11/06/2016 à 06h58

Hellebroner, je te souhaite bien du courage pour supporter toute cette haine que tu as en toi. Car la haine ou la colère sont des poisons pires que l'alcool je crois. Et la toute première victime de ça, c'est toi. Moi aussi des fois je suis en colère et je me sens très mal quand ça me prend. Alors j'essai de travailler sur ça aussi

Profil supprimé - 11/06/2016 à 10h51

Bonjour, je suis nouvelle. Je viens ici pour aussi trouver de l'aide pour gérer mon envie de prendre un verre le soir quand angoisse... Je ne supporte plus l'état dans lequel ça me met mais je n'arrive pas à m'arrêter ! Des que je prend le premier verre je vois jusqu'à ne plus en pouvoir et sombrer... Je sais que je suis en dépression et j'en ai marre de cet état...

Profil supprimé - 11/06/2016 à 11h56

Et voilà ça fait un an que j'ai arrêté mes conneries: Sur toute cette période j'ai bu 7 verres ! Je sais bien que rien n'est définitif dans ce combat, j'espère juste qu'avec le temps toutes pulsions s'"teindront.

Allez courage à tous

Pat

Profil supprimé - 11/06/2016 à 17h02

Bonjour à toutes et tous.

Mes 50 piges sont passées, j’ai bu mais pas titubé...

A hellbroner, je bois aux repas du vin, et une bouteille de whisky me fait deux, trois jours, parfois plus, parfois moins. Je bois, buvais aussi hors des repas, et il y a deux ans je picolais dès le reveil...

Là il me reste plein de vin et pas l’intention de tout boire seule...

Malgré la fiesta pendant plusieurs jours, même mes proches ont été surpris de me voir à la menthe à l’eau...

Il faut être bien dans sa tête et trouver d’autres sources de plaisir que l’alcool, ce qui n’est gagné.

Bon week end à vous.

Profil supprimé - 11/06/2016 à 17h20

Hellbronner
Pense à toi et bon courage si tu es déjà hospitalisée.

Je n’y suis jamais allée pour l’alcool mais dépression, burn out et addictions médicaments.

Ma dernière hospi, le fait de me sentir dans un lieu "protègé", je me levais tôt tous les matins, moi qui suis plutôt Marmotte, et allais courir dans le Parc. Les précédentes je passais mes journées dans ma chambre.

Je discutais peu avec les autres résidents, et prenais mon repas en chambre. Je suis plutôt solitaire.
J’ai lié connaissance avec trois personnes sympas, là à cause de l’alcool. Ce qu’il m’ont dit : ne jamais reboire....

Ne te laisse perturber en rien, et à bientôt.

Pat.

Profil supprimé - 13/06/2016 à 22h37

Bonsoir a tous

We alcoolisé mais pas trop.
Pas d alcool ce lundi.
En parallele j ai commencé un regime et c est vrai que ca motive !
Courage a vous tous

Profil supprimé - 15/06/2016 à 01h47

Bonjour à tout le monde et un grand merci pour tous vos messages !

Alors : vendredi dernier, après une crise de panique, j'avais décidé de me lancer en urgence dans mon sevrage mais j'ai tellement abusé ces derniers temps que j'ai été terrorisée à l'idée de le faire sans médicaments.

J'ai fait plusieurs pharmacies mais aucune n'a accepté de me délivrer du Lexomil ou du Xanax (ce que je comprends).

Du coup : rebelotte en attendant mon RDV chez le médecin vendredi 17 à 10h30 pour enfin me faire prendre en charge pour un vrai sevrage.

Et puis, comme je vous l'ai écrit, j'étais une véritable bombe de colère et de haine envers mon "compagnon".

Cela dure depuis septembre dernier. Depuis tout ce temps, je me suis cogné la tête contre les murs pour tenter de comprendre ce qui n'allait pas chez lui.

J'y ai passé des milliers d'heures d'interrogations, de recherches, de discussions...

... Pour en arriver cette semaine cruciale à l'aboutissement et au verdict confirmé et re-confirmé : c'est un manipulateur pervers narcissique.

Voila pourquoi je suis tombée dans l'alcool comme dans un gouffre : celui de ma tristesse, de ma colère puis de ma haine.

Maintenant que je suis enfin absolument certaine du dysfonctionnement de notre relation, je me sens libérée d'un énorme poids (autant que j'en ai pris).

Maintenant, je n'ai plus besoin d'essayer mille et une solutions pour le comprendre et tenter de maintenir à flot notre "couple" qui n'en n'a jamais été un... Je vais pouvoir déposer mes interrogations, mon chagrin, ma colère et ma haine sur l'autel de ma libération : c'est "juste" un malade.

Il sait que je l'ai enfin démasqué. J'ai démonté très méticuleusement l'horrible mécanique dans laquelle j'étais coincée.

Quand je remonte le temps, chaque geste, chaque parole... trouve enfin son écho et son explication. C'en est presque risible de ridicule ! Fascinant, également. Une vraie révélation !

Cela fait environ un an et demi que je me torturais avec tout ça mais j'ai enfin compris. J'ai enfin compris que je vivais et vis toujours avec un dingue !

Cela fait maintenant une dizaine de jours que je ne lui adresse plus la moindre parole : les pervers narcissiques ont une saine horreur qu'on les ignore : ils n'ont plus de public !

Et ça marche ! Je me marre à longueur de journée à l'observer. Il a sacrément perdu de sa "superbe" !

J'avais absolument besoin de comprendre ce que je vivais (subissais) pour avancer vers moi.

C'est un énorme soulagement d'avoir enfin compris la raison de mon très profond mal-être. Que lui, ne peux pas comprendre vu qu'il est déconnecté de toute émotion.

Donc, vendredi : c'est en toute connaissance de cause que je vais chez le médecin pour mon sevrage "médicalisé".

Je vais profiter de cette "prise de hauteur" que me donne ma découverte au sujet de l'autre con pour maintenant gravir la marche supérieure : celle de ma désintoxication et cette fois, très sérieusement.

Ce sera aussi pour moi une deuxième victoire sur ce con, qui, j'en suis certaine devait se réjouir de ma décadence.

Concernant ma recherche de logement, je n'ai pas non plus envie de me retrouver dans un trou à rat

Ne pas perdre de vue que c'est ce con qui m'a fait quitter Paris pour Nice où je ne suis plus pour rien ni personne.

Je n'ai pas à en assumer toute la responsabilité.

Pour l'instant, j'ai toujours un toit. L'avoir démasqué va me rendre la cohabitation moins pénible.

Je travaille dur afin de pouvoir prouver mes revenus aux bailleurs (il le sait). Mais je n'ai pas non plus à assumer ses conneries au point de me retrouver dans un cagibi. J'en ai déjà assumées pas mal de ses conneries.

C'est donc beaucoup plus "sereine" que je vais aborder mon sevrage. Libérée de toutes mes interrogations lourdes, sans fin, récurrentes, lancinantes, usantes...

... Et qui m'ont très sérieusement abîmée physiquement et psychologiquement.

Son piège vient de se refermer... sur lui ! Il sait que je suis sortie de sa manipulation mortifère et qu'il ne m'intéresse plus.

Mon alcoolisme lui avait donné une belle prise pour y accrocher toutes les raisons de tous ses "travers".

C'est fini ! Son masque est tombé et il va assister à ma renaissance un peu plus chaque jour.

Ca va être moi la perverse : lui donner chaque jour une bonne raison de me voir maigrir et plus de m'aigrir, puis redevenir jolie, plus triste... A le renvoyer tout seul à son image de sale con.

Voilà, les gens ce que j'avais besoin de vous dire. Je ne vous cite pas un par un nommément mais j'ai lu chacun de vos messages et je vous en remercie vraiment.

A très bientôt !

Evelyne









Profil supprimé - 15/06/2016 à 16h30

Bonjour moi j'ai vraiment du mal a stopper l'alcool ! Hier je n'ai pas bu mais aujourd'hui je suis a ma première bière, sue je bois en tremblent !

Profil supprimé - 15/06/2016 à 22h01

Oui c est dur
Hier vin rouge et aujourd hui pas d alcool mais j y ai fortement pensé....

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