Cherche partenaire J-1

Bonjour

Partant aussi. Depuis 1 semaine j ai divisé par 2 ma conso de vin. J attends mon rdv le 12 juin avec l addicto de Csapa. 
C est pas facile. Avez vous des trucs et astuce ? 
Au plaisir de vous lire 

Bonjour,

 Je suis partante aussi.  J'ai essayer a plusieurs reprise mais je n'arrive pas a aretter tout mes proche consomme de l'alcool donc pour la motivation et le soutien ce n'est pas ça. Je pense que ce forum pourrait être un bon soutien pour moi et pour tout ceux qui veulent arrêté mais n'y arrive pas seul. Aujourd'hui c'est mon premier jour sans alcool. c'est très dur, j'ai plein de mauvaise pensées qui vienne, j'ai honte, je culpabilise et je suis triste. Mais je compte bien reussir a me sevrer et je pense qu'on pourras tous y arriver si on se soutien jour après jour. Merci pour ce forum qui je pense va beaucoup m'aider moi et de nombreuse autre personne. Si vous avez des conseils et si vous voulez partager comment se déroule votre parcours sans alcool, je suis preneuse. 

En vous remerciant et vous souhaitant bon courage. 

Bonjour tout le monde, 

J'ai vécu hier soir une énième cuite à la bière qui m'a décidé (et obligé) à faire le constat de ma mauvaise relation avec l'alcool en général.

J'ai commencé à boire de l'alcool vers mes 15 ans en soirée, pour ne plus jamais vraiment pouvoir faire une croix dessus. J'ai développé une appétence incontrôlable lorsqu'il y a de l'alcool à disposition, je n'ai jamais été capable de me réfréner ni contrôler ma consommation.

J'ai aujourd'hui 42 ans, et suis bien conscient que l'alcool est une problématique grave me concernant. J'arrive à cacher aux yeux de tout le monde mon envie de boire. Elle est comme une bête noire enfouie en moi, insatiable et imprévisible. Je ne bois en général qu'en fin de journée après le boulot, je n'ai jamais eu aucune envie de boire le matin (peut-être une chance dans mon malheur).

J'ai commencé à vraiment accélérer la boisson il y a de ça 6 mois suite à mon arrêt de la vapoteuse. J'ai voulu me venger de cette décision en quelque sorte en me rabattant sur autre chose. Le constat aujourd'hui c'est que j'ai commencé par boire 1 à 2 canettes de 50cl de bière forte donc 1 litre quasiment tous les soirs, et 6 mois plus tard je fais 14kg de plus la balance et hier soir je me suis cuité en buvant 3,5 litres de cette même bière... Blackout quasi systématique et presque recherché je dirais...

Mais j'ai un enfant de 9 ans que j'aime par dessus tout, et une femme merveilleuse à qui j'ai tout avoué ce matin même sur ce qu'elle ne voit pas, et qui fait preuve de soutien et de compréhension incroyables.

Je vois tous vos témoignages et vos forces combinées et ça me fait chaud au cœur de lire toute cette ferveur et entraide. J'ai une honte de moi-même absolument énorme, et je n'ai jamais compris pourquoi je tiens tant à me détruire de la sorte.

Je ne vois qu'une issue favorable à cette problématique, l'abstinence. Mais je ne sais pas si je serai assez fort 😔

Merci de m'avoir lu et à bientôt 

Doudou

Bonjour, voilà moi cela fait plus de 20 ans que je boi , j'ai décidé depuis bientôt 3 mois d'arrêter, je buvais beaucoup de bière 50cl à 8% cela pouvait atteindre 8 ou 9 par jour, j'ai réduit, en ce moment je suis en bière 50cl mais à 4% et le début me semblait bien car ma consommation était de 3 ou 4 maximum et le plus tard possible c'est à dire 18h . Malheureusement grosse chute il y a quelques jours mais toujours avec des bières 50cl 4% . Je suis retombé à 6,7, voir 8 . Je me suis ressaisi grâce à ma chérie, je continue à boire mais moins 4 ou 5 par jour, c'est toujours trop mais de 90 unité  il y a 3 mois je suis aujourd'hui entre 50 et 60 . Mon objectif diminuer petit à petit, mais très compliqué, pouvez vous me dire si on peut se faire hospitaliser tout en travaillant ? Merci beaucoup pour vos réponses et surtout bon courage à vous tous, le tunnel est long mais il a toujours une sortie au bout. Bonne journée à vous tous 

Bonjour, c'est bien vous êtes dans la bonne direction. 

Je suis partant. Je ne bois pas tout les jours mais dès que je commence à boire je n'arrive pas à m'arrêter. J'ai donc décidé d'arrêter définitivement. Bon courage à tous.

Bonjour,

Pour ma part j'ai beaucoup de mal a dire non. Ça peut paraitre idiot mais comme tout le monde me connais festive, j'ai toujours du mal a refuser. J'ai l'impression qu'on va me voir différente ou que je devais avouer bah oui j'ai un problème avec l'alcool, je ne sais pas m'arrêter comme finalement beaucoup de monde. Dimanche, cela faisait mon premier verre depuis 4 jours. Je me suis encore persuadée que je pouvais contrôler ma consommation. Bah on a bu la bouteille de rouge a deux, puis j'ai ouvert la bouteille de blanc. Et puis la tête dans le cul le lendemain. C'est bien dans la qu'il faut que j'accepte que l'alcool n'est plus pour moi, trop vicieux le produit. 

Tout ceci est bien sûr compliqué, on nous propose systématiquement de l'alcool (même ma qui ne boit pas en propose) 

Alors oui il faut de la volonté pour dire non, non merci je vais prendre du soft. 

Jeudi j'ai une soirée avec les collègues de boulot : ce sera mon challenge.

Bonsoir à tous, j'ai commencé la lecture de vos échanges depuis ce  atin. Je n'en suis qu'à la cinquième page ( ma journée était bien remplie) et je me retrouve en vous. J'ai eu envie de vous rejoindre et ai osé, enfin, après tant de mois à me documenter sur ce terrible problème qu'est l'alcool. Je me retrouve en vous car, comme beaucoup d'entre vous, je bois le soir, depuis dix ans, seule, sans que personne ne le sache. Je vis avec mes deux enfants. Mon compagnon, ne vit pas avec moi et n'imagine pas la quantité absorbée chaque soir. S'il savait...! En plus de la honte, de la peur de la maladie, et celle que ça empire, je suis fatiguée de la prison qu'est l'alcool. Combien de soirées évitées pour me retrouver seule avec une bouteille? Combien de sorties déclinées, de voyages en amoureux refusés pour m'éviter des situations de manque? Comment gérer si je n'ai pas la dose nécessaire? Que m'arriverait -il? Me metterais-je à trembler ? Péter un plomb? Les choses se sont installées doucement. Déjà avec mon ex mari, la boisson était très présente, surtout de son côté. Notre séparation m'a fait basculer il y a dix ans. Pas une soirée sans alcool. Sauf le soir où mon père est décédé. Il y a six ans.

Je bois entre 3 et 6 bières. Tout dépend du travail à faire le lendemain.

Est-ce que vous m'acceptez avec vous? Je vais prendre le temps de bien vous lire, j'ai même pensé à faire une fiche mémo sur chacun de vous, pour retenir et ne pas m'emmêler les pinceaux.

L'heure du premier verre a sonné depuis une bonne demi-heure. J'essaie depuis quelque temps de la reculer au maximum mais ça ne m'empêche pas de boire la même quantité ensuite sur un temps simplement plus limité. Que c'est triste!

Je lis vos techniques pour faire diversion à vos cerveaux. L'habitude, la routine sont terribles. Je ne sais plus comment occuper ce laps de temps, ce 19h-22h sans alcool! C'est le vide et la peur du changement qui me paralyse et m'empêche de tenter, au moins pour voir.. connaissez-vous cette crainte?

Merci de m'avoir lue.

Bonjour 

C'est un chemin difficile 

J ai moi même craqué hier soir

Je m en veux. Mais je sais que je ne veux pas abandonner pour autant 

Bonjour Liblusa, 

Ce que tu décris est parfaitement vrai. Arrivée une certaine heure, le cerveau réclame son plaisir ! Une solution peut être de manger à ce moment là. ça peut aider à faire passer l'envie de boire. Autre possibilité : trouver une activité dans le créneau horaire critique. 

Je travaille la question avec un psychologue / addictologue pour modifier les comportements à risque. C'est une démarche qui peut prendre du temps. On m'a également conseillé l'hypnose. Pourquoi pas ? 

Je te souhaite de réussir à arreter ou au moins diminuer ( ce qui reste difficile, car un seul verre suffit à reveiller le reflexe de boire ) 

A tous  : courage, persevérence. Et n'hésitez pas à consulter un spécialiste, seul c'est très difficile de réussir.