Par chat

Chattez avec
Alcool Info Service

Par téléphone

Alcool Info Service répond
à vos appels 7 jours sur 7

Contactez-nous

Adresses utiles

Forums pour les consommateurs Télécharger en pdf Imprimer Envoyer à un ami

jour J ?

Par Drunkette

Bonjour.

Ma présence sur ce site est régulière depuis quelques semaines, mais voici que pour la première fois j'écris. Je me reconnais tellement dans ce que je lis ici.
Je suis juste dans l'étape de prise de conscience : oui je suis alcoolique.
Il faut que je me l'avoue une bonne fois pour toutes.

Car peu importe que je ne boive que du vin, peu importe que je sois capable de ne pas boire pendant quelques jours.
ce ne sont pas des excuses qui feraient que je ne suis pas "tout à fait " alcoolique.
Si je le suis, complètement. Alcoolique.

Alors bien sur, tant que c'est festif , ou même en couple, on fait comme si c'était pas grave. Même si les quantités sont là, même si la régularité et l'envie irrépressibles sont là.

Mais quand , comme depuis deux mois, j'achète et bois de l'alcool seule car mon mari n'est plus là la semaine, et bien on est face à ses réalités. Bien obligée d'assumer.

quand la bouteille se transforme en cubi parce que c'est plus facile à jeter, (et parce qu'on ne compte pas bien combien on boit ??),
quand on s'arrête que parce que c'est vide ou parce qu'on s'endort comme une merde,
quand on se cache de ses enfants qu'on colle devant la TV pour pouvoir boire,
quand on se dit "pas demain " mais que demain on recommence,
quand on se rend compte qu'on a oublié une partie de sa soirée canap tv
quand on se dit que le week end on peut se lacher, sans s'avouer qu'on s'est laché toute la semaine
quand on se rend compte qu'à la dernière invit chez des amis, on a amené une bouteille qu'on s'est sifflé toute seule
quand on commence à se dire que finalement un ou deux verres le midi pourquoi pas...

Alors OUI on est alcoolique. Comment ai je pu faire semblant de ne pas le voir depuis tout ce temps ?

Et maintenant ? Je suis perdue !
Que dois je faire ?
Vais je y arriver seule ? sans aide ? sans médicament ?
dois je avoir le courage d'aller en parle à quelqu'un ?
Je sais que je ne suis qu'au début d'un long chemin. La libération risque d'être longue et semée d'embûches.

Je n'écrirai pas aujourd'hui c'est mon dernier verre car je suis faible. Et que je pressens que ce serait mentir, évidemment.
Mais j'ai au moins écrit "je suis alcoolique"




Fil suivant

932 réponses


Profil supprimé - 07/11/2020 à 02h26

Je me retrouve totalement dans votre récit. Je vous souhaite bien du courage.
J'ai envie d'arrêter, je ne sais pas par où commencer.

Profil supprimé - 07/11/2020 à 05h12

Je suis exactement dans le même cas que toi. Je n imagine pas ne plus jamais boire mais je fais des pauses. Quand je redeviens excessive je culpabilise et je me supplie de ne pas recommencer quand je me réveille.

Olivier 54150 - 07/11/2020 à 16h11

Bonjour Drunkette.

Je suis admiratif devant votre lucidité en vous lisant. Enfin une personne que ne se ment pas à elle même.
Mine de rien vous avez déjà fait un grand pas avec cette déclaration, et bien écrit, je tiens à le souligner.
Votre témoignage va faire miroir chez beaucoup, ouvrir des consciences, c'est on ne peut plus aidant. Merci.

Bien que j'ai stoppé l'alcool il y à de nombreuses années, je n'ai pas le remède pour vous, hélas. Chaque personne, situation et trop différentes.

Je peux juste témoigner de ce que j'ai vécu à partir du moment où j'ai pris conscience que j'étais alcoolique...

Voyant mon incapacité à maîtriser ma consommation j'ai commencé par l'avouer a mon entourage, famille, amis et mon médecin traitant qui m'a prescrit de" l'aotal", médicaments inefficace à souhait pour moi.
Avec cette aveu, je me prenais en mains, j'étais soulagé de connaître mon problème: j'étais dépendant, alcoolique.
Et je me suis lâché, sachant que je ne pouvais lutter, j'ai bu de plus en plus.

Une surconsommation qui m'a rapidement conduit vers un alcoologue. (Aujourd'hui on dit addictologue, je crois..bref)
Pour lui c'était clair, addiction et dépression sévère et seul un sevrage à l'hôpital suivie d'une cure loin de tout pouvait me sortir de là. Ce que j'ai fais.

Enfin libéré j'ai pû continuer à vivre. Mais comment ne pas replonger ?
En admettant que l'alcool est un poison pour moi, qu'il m'est interdit malgré un sentiment d'injustice.
Surtout je voulais comprendre, j'ai donc lu tout ce que j'ai pu sur le sujet, et beaucoup écrit façon psychothérapie.
J'ai aussi compenser avec d'autres psychotropes pendant longtemps.

L'arrêt de ses poisons est pour moi une opportunité pour se découvrir, de prendre conscience de tellement de choses sur nous, c'est un cadeau.

C'était en 1998 et je n'ai pas touché un verre depuis ce qui ne veut pas dire que je ne suis plus alcoolique. Un Ricard aujourd'hui et dans six mois je serai une épave, je le sais, donc pour rien ni personne j'y retouche.

Peut importe la méthode, beaucoup de personnes s'en sortent, alors pourquoi pas vous ?
Svp, n'hésitez pas à prendre contact avec les modérateurs d'A.I.S, ce sont de vrais pro, de vrais humains.

Voici un petit site que j'ai créé où j'ai rassemblé quelques infos pertinentes à mon sens:
https://olivierm54.wixsite.com/communications/news-and-events

Au plaisir de vous lire.
Olivier.


Profil supprimé - 09/11/2020 à 03h29

Bonjour
En effet on se reconnaît dans les histoires des autres
Il faut vraiment qu'on s'impose de se limiter. J'ecris ça pour vous et pour moi, parce que j'ai oublié hier soir comment j'ai fini au lit. Ça ne m'etait pas arrivé depuis des mois depuis que je me suis inscrite sur ce Forum, puis j'ai lâché un peu et laissé mes mauvaises habitudes reprendre le dessus...
Lisez les histoires des autres et rendez-vous compte... Ne lâchez ce site, il est nécessaire comme miroir...
Et aussi demain (lundi) buvez de l'orangina

Didou - 09/11/2020 à 09h15

Bonjour Drunkette,

Je viens de lire ton post... Ce que je lis à travers tes mots, c'est moi en fait blunk.

Cela fait environ 11 ans que je bois régulièrement, depuis que j'ai arrêté de travailler pour m'occuper de mes enfants. Où plutôt depuis que mon mari "a souhaité" que je reste à la maison pour m'occuper de mes enfants.
C'est vrai qu'il est difficile de le dire, dire qu'on est vraiment alcoolique, dire qu'on a un réel problème avec l'alcool. Et puis, ce n'est pas beau comme mot "alcoolique".

J'ai de la chance, mon mari ne boit pas, ou juste un fond de verre pour m'accompagner de temps en temps, pour me faire plaisir. En fait, je ne bois principalement que le soir... Vers 18h, c'est l'appel de l'apéro, alors j'ouvre une bouteille de crémant, ou de rouge, ou les deux, comme ça je bois un peu des deux et mon mari ne verra pas que j'ai finalement bu une bouteille car il en reste dans chacune. Et il est vrai également, qu'il est devenu facile de boire un ou deux verres à midi... C'est juste un verre hein !

Tout moment a toujours été prétexte à boire : les sorties au restaurant, les soirées à la maison ou chez les amis, les anniversaires, les événements même quelconque finalement, Cela devient une habitude, une mauvaise habitude malheureusement.

J'ai plusieurs fois essayé d'arrêter, le lendemain de soirée trop arrosée en me disant "cette fois c'est fini, je ne bois plus, ou plus la semaine ou plus pendant un temps", mais le soir même, à 18h, l'envie est à nouveau là.
A force d'essayer je me dis que je vais y arriver...
C'est comme la cigarette : grande fumeuse (de cigarette et autres) j'ai essayé plusieurs fois d'arrêter depuis 3 ans au moins et ca y est , j'ai réussi. Cela fait un peu plus de trois mois que j'ai arrêté et je n'ai pas de manque, ni d'envie. J'ai passé le cap, je le sais !

Alors je me dis que le cap de l'alcool on peut aussi le franchir !

Je n'ai pas bu depuis une semaine, depuis le 2 novembre exactement. La veille j'ai terminé les bouteilles ouvertes en me disant "demain, tu arrêtes de boire au moins pendant un mois, la durée du confinement". Pour moi, le confinement cela veut dire pas de tentations extérieures, car pas d'amis, pas de soirée et pas de resto. Je pense que cela peut être que bénéfique.
Les premiers jours ont été difficiles quand même, alors à 18h je bois une tisane, rhubarbe à papa ou la mûre de ma vie blunk C'est moins néfaste pour ma santé ! Mais au bout de 8 jours, j'en suis encore à me demander si j'arriverai à tenir et ce que je ferai ou déciderai au bout du mois... Je pense à Nouvel An, soirée arrosée forcément, aux vacances de ski et aux apéros sur les terrasses enneigées, qu'est ce que je vais boire ???

Mais au-delà de tout ça, je pense à mes enfants et à mon mari, qui me voient me saouler la gueule (pardon pour les mots), je pense à mes excès de colère ou de paroles quand j'ai bu, à la fois ou j'ai glissé dans l'escalier, à chaque fois que je fais tomber mon verre rempli de vin rouge à table et que mon mari me regarde avec des grands yeux.

J'ai tout pour être heureuse, une belle famille, un belle maison, on partait souvent en voyage (ça aussi c'était un prétexte pour boire : fêter les vacances !). Et je me dis que j'aurai aussi envie, un jour, de profiter de ma retraite et de mon mari, de mes petits-enfants j'espère aussi !

Alors l'alcool ne doit pas gâcher tout ça ! Et je pense qu'on peut franchir ce cap, et qu'on doit tout essayer pour ça !

Merci de m'avoir lu,

Davidoff31 - 09/11/2020 à 09h58

Bonjour a tous .
Je suis sur ce forum depuis peu. Mais moi personnellement, je suis allé voir mon médecin traitant, tout simplement, en lui parlé ma consommation... sur le coup j avais honte. Elle m'a écouté et dirigé vers une psychiatre, ce qui l effrayé un peu, car je n'en avais jamais consulté, peur de devoir.
Puis première consultation, puis 2 puis 3 , je suis tombé sur une personne vraiment a l'écoute, qui a mis des mots sur mon mal-être. Petit a petit, je me sens mieux , plus sur de moi .
Alors ce n'est que le début, je suis abstinent alcool cigarette depuis une semaine aujourd'hui.
J'ai rendez-vous en deca l'anpaa de ma ville en décembre.
Voilà, déjà le premier pas c'est de s'en rendre compte qu'il y a un souci avec l'alcool, ce vous avez fait. C'est une bonne chose.
Puis parler a ses proches pour avoir de l'aide, une écoute, puis voir son médecin traitant, même si les premiers mots ne seront pas évident à sortir.
Je vous souhaite bon courage tous et toutes . Nous y arriveront !

barti - 09/11/2020 à 10h34

Bonjour,
Première pour moi également d'écrire sur ce site.
Je me reconnais bien dans ce que vous écrivez tous et je salue votre courage d'exprimer tant de sentiments si personnels et si intimes.
Je viens de franchir le pas, j'ai arrêté il y a 4 jours toute consommation d'alcool et suis un peu perdu: je crois qu'au fond de moi-même, je sais que la simple réduction de consommation ne fonctionnera pas pour moi. Trop essayé, je me suis trop menti à moi-même sur ce sujet. Point d'alcoolisme caricatural; je ne bois pas en journée, ne suis jamais ivre mort mais voilà 10 ans que je me cache pour boire, pour quadrupler les doses lors de mes soirées. Ma technique: un flash de Vodka (et oui, la vodka ne se sent pas dans l'haleine) dans les toilettes bien dissimulé. Je buvais mes deux, trois verres de vin avec mon épouse en présence de mes jeunes enfants et hop, un petit tour régulier aux toilettes pour m'engloutir de savoureuses rasades de vodka qui gentillement m'amenaient à m'endormir sur le canapé. Je suis cadre sup, stressé, fatigué, alors quoi de plus normal que de s’endormir à 21h30-22h devant la télé. Ni vu, ni connu..
Et tous ces matins honteux, ces réveils assoiffés d'eau, ces brûlures d'estomac à 5h du mat. Normal, il se lève tôt car il est stressé et s'avance sur son boulot pensent mes proches...
Combien d'essais de maîtrise de consommation, de décompte pathétique sur un tableau excel en élaborant mult moyennes, médianes et en s'auto satisfaisant du fait que 30 verres en moyenne par semaine, c'est moins que 35 le mois précédent... Combien de ruses utilisées pour se mentir: oui, une bière à 7°, ça fait plus d'effet qu'à 4 et pour ma femme qui ne boit que très peu, elle ne fera pas la différence..
Ou bien on pense qu'elle ne fera pas la différence, que nous pouvons rester dignes, assumer nos petits travers..
Je crois avoir enfin compris que si je continuais dans cette voie, c'est certain, mes trois enfants de 6, 9 et 11 ans ne me verront pas vieillir; je ne les verrai pas grandir. 10 ans de 20 à 30 ans d’alcool festif, 10 ans d'alcoolisme destructeur. Me voilà à 41 ans à un tournant.La moitié de ma vie passée à boire. Je suis un toxicomane, j'ai toujours été attiré, happé par les plaisirs artificiels (plaisir?). 10 ans de cannabis à haute dose entre 18 et 33 ans, puis plus rien. Libéré. 20 ans de cigarettes à haute dose puis quasiment plus rien. Je m’attelle aujourd’hui"hui à l'alcool et j'ai le sentiment que là se trouve mon plus grand défi. Je ne me supporte plus et je ne veux plus plus vivre ainsi. La vie m'a sourie, je dois la sublimer maintenant et remercier la vie de ne pas m'avoir exposé aux accidents, drames et tout le lot de catastrophes qu'auraient pu engendrer ma consommation.
4 jours, pas si durs finalement. J'ai retenu dans vos conversations que je ne devais plus me projeter, plus comptabiliser dans de savants calculs la moyenne de ma consommation. J'arrête de boire, j'arrête de compter, je décide d'être heureux. Mon seul décompte sera celui de mon abstinence, ma fierté retrouvée. J'ai compris aussi que chaque jour est un combat contre l'alcool. Un pas après l'autre. Chaque matin, mon but est de passer une journée supplémentaire sans alcool, c'est tout..
Je reviendrai vers vous pour vous demander des conseils car la simple idée des vacances au ski sans apéro en fin de journée, des dîners familiaux enflammés durant lesquels je vais devoir décliner le verre paternel, la bière entre copains, la coupe de champagne au boulot pour fêter les réussites, rien que d'y penser m'angoisse. Je ne sais pas comment je vais faire mais je dois le faire, je dois vivre sans ce poison!
Bon courage à tous, nous vivons quelquechose finalement de très semblable

Drunkette - 09/11/2020 à 10h44

Merci à tous pour vos réponses.
Je suis touchée.
Cela donne encore plus de corps, d'existence à mon problème.

A défaut d'être révélé au grand jour , ainsi que me le conseille Olivier, il existe au moins ici, pour l'instant.

Pour Willdoit, Jenesaispasmarreter , Moijea , Didou et Davidoff31 j'ai l'impression que nous sommes sur la même route. Je vous envoie tout mon soutien et vous encourage à en discuter ensemble, pour, au moins, continuer à regarder les choses en face, et avancer doucement mais surement.
Didou, oui, notre histoire se ressemble terriblement, mêle dans les détails, les excuses pour fêter des trucs, les vacances, la rentrée, la bonne note... pfff c'est pathétique quand je l'écris.... Malheureusement ici le confinement en ville à deux minutes de plusieurs supérettes n'a pas forcément d'effet positif...
Je suis particulièrement touchée par la fin de ton témoignage, pourquoi tout gâcher alors qu'on a tout pour être heureuse, pourquoi s'infliger cette honte face à sa famille ?

Le premier objectif raisonnable est sans doute d'essayer de cesser de boire la semaine, seule. Car pour l'instant impossible de m'opposer à mon mari le et aux amis le week end. Et, si j'y parviens, en parler à un médecin. Si un médecin valide ce problème, ce sera une nouvelle étape, et une façon de montrer à mon mari que mon alcoolisme existe et n'est pas une vue de l'esprit... Car les rares fois où je l'ai évoqué, il a levé les yeux, et je suis persuadée que c'est parce qu'il sait que lui aussi son rapport à l'alcool n'est pas sain.

Le témoignage d'Olivier est d'une certaine façon dur à lire.
Le fait que vous soyez là, à en parler plus de 20 ans après, montre à quel point il faut être fort sur le long terme, que cela ne sera jamais un lointain souvenir....

"Admettre que l'alcool est un poison pour moi, qu'il m'est interdit malgré un sentiment d'injustice " , tout est dit.
Tout est là, dans la frustration, l'injustice de se dire que, nous, on est pas capable de gérer cela raisonnablement, que "se limiter", dire non au 3ème verre est impossible, que nous, on est pas une fille qui se sent "pompette" dès le 2ème verre...

Se contrôler soi, seule face à son verre est une première étape.
Mais la suivante est encore plus difficile : arriver à dire non aux autres un jour.
Dire non quand mon mari prépare un gros apéro chaque vendredi soir, lançant la spirale du week end, dire non dans une soirée au milieu de tous ces amis, qui, vu la quantité absorbée , ont sans doute le même problème que moi sans s'en rendre compte...

Il faut que je pense positif ainsi que l'évoque Olivier, trouver le bien qu'il y aura à arrêter.
Avant tout ne pas en mourir, mais aussi se soigner l'esprit, se sentir libérer, l'esprit alerte, sans culpabilisation, respecter ceux qui m'aiment.

Encore merci, et à bientôt

PS / Davidoff, si par hasard vous êtes à Toulouse (le 31 du pseudo), je veux bien vos adresses...

Didou - 09/11/2020 à 13h33

Je réponds à ce fil car cela me fait du bien d'écrire et de lire ce qu'il se dit, de voir qu'effectivement oui nous sommes tous dans la"même galère" et que tous nous pouvons parvenir à en sortir !

Je voulais rajouter également que je suis passée par des phases ou je me limitais (en verre par jour), ou je ne buvais que le week-end. Mais il y avait toujours un prétexte pour passer outre et j'avais vite fait de retomber dans la spirale et me remettre à boire, et davantage encore.

Quand on est alcoolique, il faut arrêter complètement, plus un verre ! Sinon on replonge obligatoirement.

Barti, pour les vacances au ski, j'y vais (si Covid autorise) normalement la semaine de nouvel an. On pourra en reparler... Entre le 31 au soir et les apéros de fin de journée... Moi qui adore le vin chaud et les mojitos en bas des pistes sad Va falloir trouver LA boisson de remplacement sachant que je ne bois pas de sodas ... A part le jus de tomates ou l'eau (mais l'eau ça ne fait pas très apéro) ... blunk

Belle journée ensoleillée

Répondre au fil Retour