Profil supprimé - 30/10/2017 à 17h00

Bonjour Eve,

Content de voir que tu avances

Tu verras avec le temps ce qui te va le mieux, mais dis toi que si tu en ressens le besoin il y a toujours un moyen d aller voir un centre ou l anpaa. Il existe des prises en charge pour le transport je crois par exemple.

Car ce ne sont pas les medocs qui vont faire que ca marche ou pas. Eux ils sont la pour que tu puisses te sevrer sans danger, t aider un temps, le temps de reapprendre la vie sans alcool, de ne plus avoir a fuir nos peurs, l ennui dans l alcool. Il y a toi la dessous, c est ca qui compte.

N espere pas en eux de solution miracle, c est toi la solution miracle
Mais chaque chose en son temps, tu as peut etre vecu tes premiers jours sans alcool , sois en fiere si c est le cas

Je te souhaite que cela se passe du mieux possible,
Courage et a bientot.

Profil supprimé - 30/10/2017 à 17h30

Bonjour Zarathoustre, moderateur, Salmiot,

"Deux ou trois crises d'épilepsie au pire depuis que je suis chez A.A. "

Je ne suis pas medecin mais c est justement ca le risque il me semble. L epilepsie peut etre mortelle en elle meme, mais a ca tu peux rajouter tous les risques inherents a la crise, les chutes par exemple.

"L'état de mal épileptique engage le pronostic vital et fonctionnel (risque de séquelles neurologiques définitives). Elle est définie par une crise épileptique de durée anormalement longue (plus de 30 minutes), ou par la survenue de crises si rapprochées que le malade n'a pas le temps de recouvrer ses esprits entre deux crises. L'état de mal épileptique doit faire rechercher une cause déclenchante : arrêt du traitement, prise de toxiques (ivresse alcoolique en particulier), prise de médicaments contre-indiqués, infection, etc. Dans le cas d'un état de mal par crises convulsives tonico-cloniques, la durée de la crise fait craindre : insuffisance respiratoire par encombrement bronchique et bradypnée (ralentissement respiratoire), troubles circulatoires, séquelles neurologiques et intellectuelles définitives, troubles hydro-électrolytiques (déshydratation, acidose) et œdème cérébral."
Wiki.

Donc meme si ce ne sont que 2 personnes, elles ont vecues ce risque qui n est pas forcement frequent mais qui existe. Et ca serait couillon au moment ou on a enfin envie d aller vers la vie de se retrouver mort d un truc connu, evitable par un suivi medical non?

Et sinon oui l idee que l on meurt plus de continuer a boire que d arreter reste bonne je crois

Zarathoustra je te rejoins en de nombreux points de vue, mais pourrais tu ouvrir un fil sur ca "l utilisation systématique du "qui a bu boira" est contraire à la dynamique de soins préconisée par les spécialistes." si le coeur t en dit.Ou donner ton point de vue sur cette idee. Pour ma part je peux la concevoir pour la dependance, je peux imaginer quelqu un de dependant qui arrete un temps et qui peut reboire de facon maitrisee en ayant retrouvé des equilibres de vie. Mais pour l addiction, apres des annees de conso, j ai beaucoup plus de mal a imaginer ca. Mais d ailleurs font ils une difference entre dependance et addiction?

Desolé Eve d etre un peu sorti de ton sujet...
Bonne journee a tous.

Profil supprimé - 30/10/2017 à 21h24

oui je dois me faire aider avec des médocs car sans les médocs j'ai eu des hallucinations et angoisses,j'ai dû appeler le 15;j'étais pas bien du tout!

mais
j'ai pas réussi a les prendre ce soir,j'espère demain car quand je vois ma tête ça fait peur!
mais les médocs me font peur,peur d'être abrutie
mais ça sera mieux quand même je pense,quelques jours et hop j'irai mieux
faut que je me lance!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Profil supprimé - 30/10/2017 à 21h43

Tout simplement je remercie le modérateur pour sa sage et compréhensive intervention . Je n'ai aucune envie d'entamer une polémique avec qui que ce soit , ni d'étaler une science infuse que je ne possède pas . Je ne parle jamais que de mon vécu après quelques belles et longues années d'abstinence . Je n'ai rien à prouver à qui que ce soit . Mon seul désir est d'en aider d'autres à se libérer de l'alcool car moi-même ai été aidé en mon temps .

Chez A.A., il m'a régulièrement été suggéré de prendre ce qui me convenait et de laisser le reste . Il en est, pour moi, de même sur ce forum .

Bonne continuation à toutes et à tous quel que soit le chemin que vous empruntez.

Profil supprimé - 31/10/2017 à 10h49

bonjour!j'avais pas vu l'encouragement de flo!excuses moi!merci flo et vous tous pour vos conseils et votre aide

c'est pas grave,on fait souvent tous pareil,on parle on parle

je verrai plutard p

je viens tout juste d'avaler mon premier selincro avant l'apéro

j'ai mis seresta sur chevet pour ce soir au cas delirium

pour l'instant pas envie
je croise les doigts!

bonne journée

Profil supprimé - 01/11/2017 à 06h54

bonjour

je n'ai rien bu de toute la journée,l'alcool a quitté mes pensées,je me suis reposée toute la journée,couchée j'avais en pensées tous les conseils et que des pensées positives c'était bizarre et incroyable!

j'ai eu chaud,puis froid mais pas grave

jai pris un seresta pour des petits tremblements à un moment de la journée

bon je suis restée un peu sonnée mais ça va
ce matin je ne suis pas dans les vapes,je vais pouvoir conduire
je n'ai pas faim mais c'est pas grave,je mangerais un peu ce matin

je prendrais le selincro ce midi

je suis contente et confiante!
bonne journée

Profil supprimé - 02/11/2017 à 08h29

bonjour!j'ai pris selincro mardi et mercredi aucune envie de boire ça marche très bien mais je suis groguie et j'ai pas faim;j'ai rien manger depuis
j'aime pas etre comme ça
que dois je faire?
je sais plus!poufffffffffffffffffff

Profil supprimé - 02/11/2017 à 09h40

UN POINT POSITIF QUAND MËME c'est que je ne pense plus a l'alcool!bizarre!

Profil supprimé - 02/11/2017 à 09h50

mon mari s'inquiète que je mange pas
je sais pas quoi faire bon dieu ça m'enerve!
ça va mieux d'un coté sans alcool mais si je mange pas!