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Comment se sortir de l alcoolisme de mon père

Par Profil supprimé

Bonjour à tous,
J ai 32 ans et je suis la fille d'un alcoolique qui ne reconnaît malheureusement pas ce qu il est.
Cela fait 30 que ça me gâche beaucoup de. Chose.
Je ne sais pas comment m y prendre je lui ai parlé plusieurs fois mais il ne voit pas ou est le problème (il boit du whisky tous les jours des le matin au levé) le seul problème c est ma mère ou ses enfants il retourne toujours les choses à sa manière. C est trop dur, mes frères et sœurs et moi même avons subit toute notre jeunesse ce problème et on est parti jeune de la maison pour échapper à ses cuites chroniques. Mais ma mère elle subit tous les jours je ne sais pas quoi faire pour nous sortir de tout ça.
C'est la première fois que je me confie sur ce problème j espère trouver un peu d'aide.
Merci

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5 réponses


Profil supprimé - 31/12/2013 à 01h07

Bonsoir Madame

Vous protegez me semble une premiere demarche importante, vous subissez les effets d'une maladie qui n'est pas la votre ( sentiments d'impuissansse colere,.)Sachez que vous pouvez contacter un medecin alcoologue
qui sera vous donner des pistes et surtout vous pourrai en parler, le silence ou le sentiment d'être seule avec votre entoutage( freres soeurs) augmentent vos souffrances.
Une derniere chose que je tenais à vous dire et que la maladie alcoolique n'est pas une fatalité, elle se traite, je peux en temoigner etant abstinent depuis quatres ans..
Je suis à votre diposition si vous le souhaitez

Pensez à vous et à votre famille ne peut que vous aider.

Cordialement

Profil supprimé - 02/01/2014 à 07h50

Bonjour,

Merci de votre réponse qui me touche beaucoup, effectivement l alcoolisme n est pas une fatalité mais pour ma part j a il impression qu il n y aura pas d issue.
Comment puis-je me protéger ? Je me suis souvent posé cette question mais je ne vois pas, faudrait il que je coupe les ponts avec lui? Mais cela veut aussi dire que ma mère se retrouverait encore plus seule et ça je ne peux pas. Avant hier, il m à téléphoné alors qu il était complètement saoul et il a commencé à me parler de ma mère en disant qu'elle était jamais contente... Je lui ai dit que c était l alcool le problème mais il a répondu qu il n avait aucun soucis avec ça et m a certifié qu il n avait bu qu un seul verre de vin alors qu il n a même pas pu finir la conversation tellement il avait bu. Nous nous sommes disputés encore une fois et hier ils sont venus chez moi, bien sur je planque la bouteille de whisky, mais il y avait d autres invites et donc du vin il a bu a lui seul une bouteille. J en peux plus toutes les occasions sont gâchées par sa présence, je voudrais qu il est un déclic j en pleure souvent j ai l'impression que l on est face à un mur.
Voila merci de votre attention ça fait du bien

Profil supprimé - 04/01/2014 à 06h06

Avez-vous essayé ?avec votre mère d'aller vers un groupe d'alcooliques anonymes ? Peut-être en y allant à deux, il vous sera donné des conseils pour l'aider. Son médecin lui en a t-il parlé, peut-il lui proposer de faire un bilan sanguin général et en même un dosage des gammaGT où là les résultats commentés par le médecin ne pourront pas être discutés. A vous de voir. J'espère que ces quelques informations pourront vous être utiles. Courage !

Profil supprimé - 08/03/2014 à 01h38

Bonjour, excusez-moi si je " m'incruste" j'en suis désoler, j'ai 15 ans et mon père est alcoolique, sa va faire 3 ans environ, il n'a jamais mais alors jamais voulu admettre à lui même qu'il avait un problème malgré l'aide de nos voisins (dont nous sommes très proches), amis, et famille. Nous avons essayé toutes les méthodes possibles. Ma mère " supporte" mon père depuis c'est 3 ans de "vie difficile", en plus de ce problème, vient les problèmes d'argents, son entreprise qui fait faillite, il tombe en grande dépression. Je me sentais vraiment impuissante, en voyant mon père comme cela je ne savais pas quoi faire. J'écrit plusieurs lettres lui étant destiné, lettres qu'il na bien évidemment jamais reçu, pourquoi ? j'ai trop peur de sa réaction. Plusieurs semaine plus tard me voila rentrée de vacances, m'attendant à un accueil chaleureux ce n'est pas vraiment ce qui m'attends, ma mère me dit que mon père va ENFIN aller en cure de désintoxication, je suis vraiment très fière de mon père ! Juste pour dire que même si tous les malheurs du monde s'abatte sur vous il ne faut JAMAIS baisser les bras, jamais. J'avais perdue toute espoir car comme je disais rien ne marcher pour l'aider à aller mieux, mais ma mère à utiliser "la manière forte " comme on dit, en lui disant que s'il ne changeait pas rapidement il n'allait pas rester en vie bien longtemps et que vue de toutes les conneries qu'il a faite elle allait divorcée. Ce qui la,je croit booster à bouger ses fesses !
Je ne c'est pas vraiment a quoi va servir mon message mais bon, voila !

Profil supprimé - 10/03/2014 à 16h55

Bonjour, ayant fais beaucoup de mal a mon entourage, j'apporte ma maigre contribution a ce sujet, alcoolo dépendant depuis 5 ans j'en ai 27, abstinent depuis 2 ans. Tout d'abord la consommation de votre père est ancienne, il faut comprendre que l'alcool est le seul moteur dans sa vie de tout les jours, il consomme l'alcool comme un médicament. Chaque discutions sur le sujet doit ce faire dans le cas ou il a jeun et dans une duré déterminé avec un début est une fin, quoi de plus tanten de remettre les bouché double aprés une discution qui qui rabache des discours anciens sur le sujet et qui dure 3h00, vous lui signifié que vous lui parlerais du problème de tel heure a tel heure. Ne cherchez surtout pas a mettre un problème sur l'alcool il le découvrira pendant son traitement médical car les douleurs psychique ou physique referons surface toute seul, il reaprend tout de son corq et de sa vie, c'est pourquoi il faut qu'il soit accompagné médicalement, il ne se contrôle plus, dans mon cas les 6 derniers mois avant ma cure, j'avais pris conscience de mon problème, je consommé pour supprimé mes effet de manque. Ne travaillé pas sur la menace des choses, elles ne fera que empiré les choses car il ne se gère plus lui même, je souhaitais arrêté sauf que c'etait plus fort que moi et que mon cerveau me dirigé vers le magasin hors de ma volonté, quand ont en plein dans la tourmente il n'est pas question de volonté il est question de décision a tenir. J'avais donné le feu vert a ma soeur pour le rdv a la cure, j'été donc obligé de tenir mon engagement. Faite plutôt des propositions, est le laissé prendre les decisions, du type allé vous ressourcé auprès d'association qui pourront vous aidé signalé lui que vous y allé, a chaque fois avant d'y allé, prevené le que vous passerais le voir, et dites lui que vous y allé pour lui et vous, car vous avez besoin de comprendre, proposé lui de faire l'effort de venir car vous le faites pour lui, si il ne le souhaite pas ce jour, il se peut qu'un jour comme il vera l'habitude s'installé il viendra. Ne lui parlé pas en face ou au téléphone quand il a consommé, si il sen met en danger un jour (trop de consommation ou tentative de suicide) appellé les urgences cela peut etre un electro choc pour certain, faite lui sentir que il ne vous interrese pas quand il a bu par contre quand il est a jeun il faut l'affectionné et ne pas rabâché le problème qui vous dérange lui et vous. Pour apporté mon commentaire a salimousse, il ne faut pas confronté les problèmes du type proffesionnelle de ton pere en plein moment d'alcoolisation, il peut allé en cure et prévenir une assistante social elle préviendra les personne competante, de la se genre de procédure, lui permettra de ce protégé lui d'abord, en france nul personne ou autorité ne peut allé a l'encontre d'une personne a sa demande a bénéficié de soin medicau, ces probleme ceron alors reporté ou une personne competante sera décigné pour le représenté, courage les amies l'alcool est un fleau, il laisse des traces importantes au malade mais aussi au proche, cela demande beaucoup de temps de ce reconstruire, j'ai perdu 5 ans de ma vie, je me suis fait une raison, j'ai la chance de ne pas avoir de trace type justice, pendant la periode de mon d'amour auprès de cette très mauvaise fréquentation, j'ai divorcé mais elle me renvoi quelque texto de temps en temps, ce qui me fessait pensé au bon moment au debut, mais depuis peu cela me fait pensé que au mauvais, c'est la ou je pense que j'ai avancé, la route est longue, c'est un travail de tout les jours, mais réalisable, Courage

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