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21 réponses


Profil supprimé - 13/02/2019 à 15h09

Bonjour hier j'ai eu 28 ma femme m'avait fait la surprise de me prendre un gâteau et un petit cadeau et moi j'ai rien trouver de mieux que de passer la soirée dans un bar en face de chez moi elle savait qui j'y étais elle est donc venue me récupérer ma passer un savon devant tous le monde mes j'en et fait qu'à ma tête et j'ai passé la nuit à boire un verre après l'autre quand je commence à boire j'arrive pas à m'arrêter et aujourd'hui elle m'a quitter et nous avons une petite de 6mois je culpabilise un truc de fous c'est pas la première fois que je lui fais des coup comme sa mes la j'ai était le plus gros des c et je pense que cette fois je les vraiment perdu à cose de l'alcool la povre elle me le disait que j'avais un problème avec l'alcool et moi je lui diser mes non tkt elle m'a même trouvé une psy mais je les jamais appelé et aujourd'hui je pleure toutes les larmes

Profil supprimé - 17/02/2019 à 22h48

Bonsoir à tous,


Je prends la discussion en cours de route. Je ne sais plus lequel ou laquelle d'entre vous, a évoqué le bien que cela pouvait faire de ne pas sentir jugé en exposant librement son mal.
Je me retrouve un peu dans toutes vos histoires (séparations, sentiment d'impuissance face à son addiction, réprimandes, honte... Mais également, ce qui n'est pas négligeable, la conscience de faire souffrir ceux qui nous aiment -encore- après l'avoir découvert).
Que dire... J'ai bu, beaucoup, sans jamais m'écrouler-ce qui n'empêche absolument pas le produit de s'insinuer méchamment dans mes organes-je n'en ai que trop conscience.
Pour un verre, à une époque, j'aurais pu commettre les pires actes et au matin, je me dégoûtais moi-même.
Quand il n'y en a plus, quand tous les magasins sont fermés, on en cherche, encore et encore, au point parfois d'aller s'en procurer dans la réserve d'un autre, bien qu'il fasse partie de notre proche entourage-ce qui n'est pas moins qu'un vol.
Je n'ai pas de conseil à donner, estimant n'être pas la mieux placée pour le faire. Je sais juste que je n'ai pas bu une goutte aujourd'hui. Ces derniers jours j'ai tenté de me limiter à de la bière, d'éviter le vin -"Mon" poison, faute de vin, parfois j'ai pu soutirer ici ou là, quelque chose de plus fort -ce qui n'a pas de sens, puisque je ne tolère absolument pas les alcools forts. Je n'ai pas bu aujourd'hui mais j'ai bu hier matin, soir et après-midi (une bouteille pour la journée, ce qui ne représente rien pour moi, si l'on considère les quantités que j'ai pues ingérer jadis.
Merci pour vos témoignages, lesquels me confortent dans l'idée que si cette chose nous fait tous du mal, elle n'a pas toujours le dernier mot, puisque certains s'en sortent. Certes en se faisant violence, mais rien est perdu.
Je vais m'endormir ce soir avec un verre d'eau (l'alcool était devenu mon eau). Je me suis mise à l'eau pétillante et quand il n'y en a plus je prends un verre d'eau plate sans ce sentiment de frustration que je connaissais au coucher auparavant.
Bien à vous tous,
S.

Profil supprimé - 07/03/2019 à 12h37

Bonjour à toutes et à tous,
Je viens faire un tour voir comment vous allez ?
Avez-vous pu/su trouver quelques apaisements à votre addiction, douleur, souffrance?
Pour ma part j'ai enfin fais le pas et je suis allé voir un alcoologue. Une longue discussion d'une heure en est ressortie et une ordonnance.
Je suis donc resté 8 Jrs sans boire fort de cette rencontre, médicament en main, sorte de garde fou en ayant l'intention de ne les prendre que si je rechutai...
Je les ai donc pris….  mais les effets secondaires ce sont montrés désastreux je ne sais pour quelle raison, aussi, je reprends rdv avec lui car je n'ai peut-être pas suivi le protocole comme il l'aurait fallu (ces médicament sont puissants...)
Bref, ma rechute ne fut plus que brutale avec ces médicaments miracles en main...ayant comme le droit de boire, le fait d'avoir fait le pas m'a ouvert en quelque sorte "un droit" à....au trop !
C'est un aspect pervers que je n'ai pas vu venir....Je devrais m'en vouloir terriblement mais j'ai décidé que je devais être tolérant...alors je le suis....
Pour autant, le médecin m'a expliqué qu'une part d'hérédité existait chez le patient alcoolique et....faisant des recherches auprès de mes parent, pour un génétique et de qui je ne connais rien (...) de l'autre, par ma maman, mon grand-père l'était !!...alors un lègue bien sournois mais ce n'est pas la seule explication....qu'il va falloir que je traque.
Autre sujet donc je voulais partager avec vous, le rapport à la spiritualité, à ma seule expérience (mais il semblerait que je ne soit pas seulement concerné) la spiritualité ne comble pas cette addiction, attention à bien faire la part des choses bien que celle-ci "aide" à allez mieux voir bien (encore un paradoxe)
Je ne veux pas vous accabler par mes dires et attends de lire vos échanges avec impatience.
Prenez soin de vous les amis(es)
Bien à vous
Stéphane



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