Bonjour , je m'appelle Dylan, j'ai 27 ans et j'habite en Vendée. C'est le coeur gros que je prends la décision de poster ici. J'ai un problème d'alcool. Je ne bois pas tous les jours mais je consomme beaucoup d'alcool le week end. Si je bois un verre c'est foutu. Ma soirée de hier soir barbecue entre ami, je finis en boîte de nuit, j'explose le miroir des toilettes je me fais virer , et ça c'est une histoire parmi tant d'autre. J'habite seul dans ma maison depuis 3 ans , et la ma consommation a changer , dans le sens où si je suis en soirée avec des amis mais que j'ai pas ma "dose" je bois seul jusqu'à m'endormir . A chaque fois que je bois le lendemain j'ai des regrets. Mes amis ne m'en parle pas mais voilà je sens bien qu'il en pense pas moins , mais dans un autre sens il aime le personnage que je suis une fois bourre , avec mes excès. Je me sens mal dans ma peau, je ne rencontre plus de femme car je me dégoûte . Je souhaite m'en sortir, je connais le poid de l'alcool dans une famille mon père était alcoolique , je sais comment ça détruit les gens , les larmes de ma mère. Je pense que je ne suis pas guérit de tout ça. Je ne parle jamais de ça et ça me pèse. Je souhaite connaître et avoir des solutions, psy? Réunion alcool? Addictologue? Il y a quasiment un an j'ai eu des rendez vous dans une structure pour les addictions ça ne m'a pas aider la personne ne trouvait pas ma situation alarmante. Mais j'ai peur des conséquence de tout ça. J'ai envi de me prendre en main de prendre un réel virage et de prouver à moi même que je peux y arrive, et aux autres. Merci d'avance de vos pistes et si je pouvais trouver quelq'un qui m'accompagne dans cette démarche ça m'aiderait beaucoup dans le sens où voilà ça m'aidera a pas abandonné un parrain ou une marraine comme on dit. Merci a vous, belle soirée
Par Anonyme
01/08/2022 à 10:34
Bonjour Dylan85300,
Il y a beaucoup de chose dans ton histoire, la famille, les amis, l'envi de changer, la solitude, les lendemains difficiles. Que de choses que je connais, et je pense énormément de ceux qui sont ici.
Pour avoir eu un déclic il y a quelques semaines (24 juin dernier), je ne suis pas passé par un psy, un addictologue, les AA, mais je pense que la méthode et les besoins sont différents pour chacun.
Ton cas n'est pas alarmant pour certains, car tu ne bois pas tout les jours, mais tu ne sais pas gérer ta consommation une fois le nez dedans, tu vas boire énormément, là aussi, nous sommes nombreux à connaitre ce problème., mais c'est un vrai problème puisque tu en souffres et que ce qui est bien, c'est que tu en prends conscience et que tu as déjà fais ce premier pas.
Je n'ai pas à ce stade de solution miracle, je ne sais pas ce que tu as vécu pour avoir à traverser ces épreuves.
Par contre je sais que dans ce changement (je ne parle pas de combat contre l'alcool car pour moi cela induit de se battre or, dans mon cas ce n'est pas le cas) il est impératif de :
1°) Bien prendre conscience que si tu veux arrêter de boire, il ne peux pas y avoir de "juste un verre", sans quoi tu as de forte chance de retomber dedans
2°) Tu dois vraiment prendre cette décision pour toi, par pour ta famille, ni tes amis. C'est une décision que tu dois prendre pour toi, pour aller mieux
De mon côté j'ai passé mon premier mois sans alcool, j'ai eu 2 envies de boire au début et depuis plus rien. J'ai fais une soirée ce week-end avec des amis ou l'alcool y étais très présent, mais je n'ai rien pris. Pas de manque, pas d'envie, la soirée c'est bien passée, de beaux échanges, et le mieux, pas de trous de mémoire, pas de honte le lendemain.
Tu parles d'avoir peur des conséquences? Mais de quelles conséquences? Il n'y a pas de vrai choses à regretter en réalité. Moi qui adorais boire, je ne vois à présent que de bon côté. Alors oui, on ne boira plus de bières, de vins, de spiritueux, mais est-ce réellement une vraie raison de continuer à boire?
Je te souhaite de trouver l'élément déclencheur qui t'aidera, donnes nous des nouvelles.
Pierre abstinent depuis le 24/06/2022
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Par Carte
01/08/2022 à 15:38
Bonjour à vous deux et bienvenue à Dylan85300
Des hauts et des bas. Voilà ce qui jalonne les alcooliques. Donc bravo à toi de t'intéresser à ta consommation à 27 ans, car perso j'ai dû attendre 40 ans pour comprendre que j'étais alcoolique.
Plus tu pourras arrêter tôt et mieux ce sera. Vivre sans alcool devrait être la norme. Hors dans notre belle France, l'alcool est un des liens qui connecte les personnes les uns aux autres.
Alcoolique, oui c'est une maladie et tu n'y peux rien. Certain vont être des consommateur excessif et ne jamais être dépendant et d'autre comme nous... Ben voilà c'est comme ça....
Alors comment t'aider? Comme disait Pierre, il n'y a que des bonnes raisons d'arrêter.
La vie sans alcool devrait être la normalité mais pour nous c'est l'inverse.
Je te conseillerai de voir un Addictologue et de voir un psychologue. Ce sont des personnes formidables qui peuvent t'aider à mettre des mots sur ton mal-être. Ton passé t'appartiens et tu ne pourras pas le changer. Par contre ton futur est aussi le tiens et toi seul pourras décider. Fais la démarche pour toi et uniquement pour toi.
Courage dans cette belle démarche. Tu seras vite récompensé et le meilleur est devant toi sans alcool je te l'assure
Sylvain Re Abstinent depuis 6 mois.
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Par L2O
02/08/2022 à 07:12
Bonjour Dylan,
Ton message me ressemble tellement ! Quasiment le même schéma de mon côté : une consommation qui n’est pas quotidienne mais qui est excessive ; les antécédents familiaux…
J’ai 30 ans aujourd’hui et abstinent depuis 9 mois (et 3 jours ).
Le fameux premier verre, celui après lequel il est trop tard pour reprendre le contrôle.. c’est lui qu’il faut supprimer, car il est facile à éviter.
Si on le prend, l’alcool s’invite chez nous et prend déjà le contrôle de notre esprit. Et comme un feu qui a besoin de paille pour survivre, il en demandera toujours dès qu’il se sera allumé. Si on refuse de boire, notre soirée est gâchée quand même, parce que notre esprit ne pense qu’à l’alcool. Et là le combat commence, entre la raison et l’envie de boire.
Le zéro alcool permet d’éviter le combat.
La décision d’arrêter totalement l’alcool a été inenvisageable pour moi pendant très longtemps, ce n’était même pas une option : je cherchais à guérir sans vouloir me passer d’au moins « un petit verre » de temps en temps.
Et à force d’échecs, de lendemains de honte, on comprend qu’il n’existe pas de petit verre. Les autres, les potes, ils arrivent à appuyer sur ce bouton STOP, mais pas moi. Peut-être que, tout simplement, je n’ai jamais eu de bouton STOP.
Comme certains naissent avec des allergies, des problèmes de vue ou un bras en moins, je suis né sans pouvoir contrôler mes addictions. C’est un « handicap » avec lequel je suis forcé à vivre.
Alors oui, socialement c’est compliqué de refuser tout alcool : on se heurte aux questions CASSE-COUILLES de tout le monde, on se prend des vannes de la part des potes… Mais bon c’est comme ça, et c’est minuscule si l’on compare ça avec le bonheur d’être libéré de l’alcool.
Pendant le premier mois d’abstinence, beaucoup de fierté de dire « Non je ne bois pas… », j’avais l’impression de faire quelque chose d’extraordinaire.
Et puis, avec le temps, cette fierté s’estompe, la décision devient une banalité. C’est la décision ordinaire la plus extraordinaire et la plus bénéfique que j’ai prise de ma vie.
Je n’ai plus de honte, plus de chute libre concernant la confiance en moi. Ça c’est fou. Je ne parle même pas de santé physique mais de bien-être mental et moral : la stabilité et l’impression de m’être retrouvé et d’aimer ce que je suis.
9 mois plus tard : je rachète l’entreprise dans laquelle je bossais depuis 6 ans et je vais être papa pour la première fois dans quelques mois.
J’en ai des frissons en écrivant ça.
Comme si, en plus de me rendre le bonheur simple que je méritais, la vie m’avait récompensé.
Courage à toi Dylan, au plaisir d’échanger avec toi
Léo
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Par Today
02/08/2022 à 10:24
Bonjour Dylan.
Bravo pour ta démarche de venir poster ici.
Ta conso pour le centre addicto pas alarmante? Niveau jours /semaine peut-être mais dans ta façon de boire, elle l'est !
C'est problématique pour toi, c'est donc suffisant pour être un problème. De alcoolisme dit "occasionnel".
Ma petite histoire....comme toi "alcool festif" avec les potes les week-ends.... Pour finir par m'enfiler une bouteille de vin chaque soir (je te passe les étapes car évidemment ce n'est pas arrivé du jour au lendemain). Jamais le matin ni en journée de la semaine (mais l'apéro du midi était arrivé les week-ends). Une vie de couple qui part à la dérive n'a pas aidé...un entourage "trop" festifs (voir plus !) n'a pas aidé....un divorce n'a pas aidé....le décès brutal d'un proche n'a pas aidé....plein d'excuses !
Un matin je me suis réveillée très très mal ! Je crois que j'étais arrivée au bout du bout !
Une décharge ! Le déclic ! J'en ai eu marre d'en avoir marre !
J'ai stoppé net ma conso et suis allée voir un médecin pour lui dire que j'étais alcoolique et que j'allais avoir besoin d'aide cette fois-ci ! C'est moi qui lui ai dit que pour moi seul le zéro alcool était LA solution !
C'était il y a plus de 10mois...et depuis plus une seule goutte d'alcool. Fini.
Pour moi, l'alcoolisme n'est que la partie visible de l'iceberg.
Il y a bien une raison à cette alcoolisme (même si l'on parle aussi de prédisposition génétique)....donc pour moi il était primordial de savoir pourquoi et pour quoi je buvais !
Suivi avec une psychologue.... Tout ce que j'avais enfoui avec l'alcool est remonté petit à petit....une meilleure compréhension de moi, une acceptation, le pardon (me pardonner à moi), une bienveillance....un amour de soi qui s'installe petit à petit mais qui fait un bien fou !
Ce que je retiens de ton post, c'est cette phrase "je pense que je ne suis pas guéri de tout ça".....
Peut-être la clé est elle là ?
Mais creuser à ce niveau là demande à être accompagné par un professionnel (psychologue), ne pas être seul pour le faire.
Arrêter l'alcool aide à mieux se connaître, mieux s'accepter, se respecter....et permet de se révéler.
Viens écrire ici aussi souvent que tu en ressens l'envie....il y a les groupes de paroles aussi.
Arrêter de boire est un beau cadeau que l'on se fait, une belle preuve d'amour et l'ouverture à un meilleur possible.
Je te souhaite de te faire ce beau cadeau
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Par CROC33140
02/08/2022 à 13:33
Bonjour Dylan,
Je tiens à te remercier pour ton post, je vais t'expliquer pourquoi.
Je m'approche de mes 59 ans, pas de famille, juste une vieille maman qui plonge lentement dans la maladie d'Alzheimer, aucun ami, célibataire, en banlieue sud de Bordeaux.
Il y a quelques temps j'ai pris mon courage à deux mains en m'inscrivant ici, et j'ai comme toi accepté mes blessures, et mon problème d'alcool.
Je suis commerçant, j'ai ma vie sociale à mon boulot. J'ai fermé pour le mois d'aout, principalement pour mes collaborateurs, car à part réaliser que ma vie ne rime à rien, que je ne reçois ni appel ni message de quiconque, que je n'ai pas appris à prendre soin de moi ni me faire plaisir, et bien malgré moi, ce sont toujours au moins deux bouteilles de rosé chaque soir, sinon 3; des chutes en allant me coucher, des blessures physiques involontaires, une tristesse infinie, des idées très très noires (heureusement je ne peux pas faire ça à mon chien..)
Alors pourquoi j'avais envie de te remercier ? C'est tout con; les différents messages de Pierre, Sylvain, Léo, Today et surtout celui de Léo sur le fameux premier verre, qui est facile à éviter, l'idée que le zéro alcool évite le combat; et bien je n'avais pas vu les choses sous cet angle, et bon sang que je suis venu ici souvent, lire, etc..
Alors parce que tu as posté ici, et que j'ai lu le fil, grâce à toi quelque part, je vais essayer de voir si je peux ne pas prendre ce putain de premier verre...
Viens écrire quand tu le veux, lis, si à 59 ans ça vaut le coup, à 27 tu as la vie devant toi...
Stéphane.
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Par Sophie24
03/08/2022 à 07:11
Bonjour a vous messieurs
Je suis tombé par hasard sur vos discutions et Dylan je te dit bravo vraiment sois fier tu es sur le bon chemin de guerison
Pourquoi j'écris sur se forum car j'ai un compagnon qui ressemble beaucoup à Dylan je le retrouve vraiment dans ton texte Dylan .cela va faire 2 ans que l'on est ensemble et le souci c'est que je ne sais plus quoi faire pour l'aider je suis fatigué de tous ça avec cette alcool qui vient tous gâché dans notre histoire sentimental je suis. A la limite de la rupture car je souffre de le voir comme ça et je suis tellement malheureuse .j'ai beau discuté avec lui mais à chaque fois le démon de l'alcool est plus fort que la raison pour lui. j'en peux plus .après avoir déssoulé il m'envoie des SMS pour s'excuser mes même ça j'y arrive plus et le problème c'est qu'il est violent verbalement et méchant .
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Par Anonyme
03/08/2022 à 11:15
Bonjour Sophie,
Je me retrouve un peu dans le comportement de ton compagnon car de très nombreuses fois durant 15 ans je me suis excusé devant ma femme , lui ai promis de ne plus jamais boire des centaines de fois, mais mes promesses s'envolaient après avoir pris le premier verre .
Ma solution extrême fut de rejoindre les AA . Tout le monde connait ce Mouvement mondial .
Si ton compagnon a réellement envie de se libérer de l'alcool, invite-le à rejoindre cette association ou une autre si AA n'est pas dans votre coin. il y a la Croix Bleue, Vie Libre et bien d'autres où il se trouvera parmi ses semblables, sans avoir honte de quoi que ce soit car juger il ne le sera jamais .
L'alcoolisme est une maladie comme n'importe quelle autre . La seule solution est , paraît-il très simple et consiste à ne plus prendre le premier verre , un jour à la fois dit-on chez AA et où là je suis devenu abstinent et ai été libéré de l'alcool .
Ensemble sommes tellement plus forts pour contrer cette maladie . Il existe également une association pour les enfants , conjoints ou parents d'alcooliques . ll s'agit de Alanon mais j'ignore s'il existe des réunions dans ton coin . Tu pourrais les contacter par téléphone déjà tout comme ici avec les modérateurs de ce forum .
Tu fais tout ton possible pour aider ton compagnons, je n'en doute pas mais tu es probablement impuissante devant son problème . Veille bien sur toi, protège-toi car s'il ne fait rien , la situation va s'aggraver progressivement étant donné que l'alcoolisme est une maladie progressive, incurable et mortelle dans certains cas .
Bon courage à toi
salmiot1
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Par L2O
03/08/2022 à 11:31
Bonjour Sophie,
Malheureusement pour toi le déclic ne peut venir que de la personne malade elle-même. Je pense que les regrets et les excuses de ton compagnon sont profondément sincères car le mal dont il souffre vient de quelque chose qui le dépasse et qui le dépassera toujours vraisemblablement. Et ce qu’il peut dire ou faire sous alcool n’est pas quelque chose qui lui ressemble, mais qui prend contrôle de son cerveau.
Je te conseille, pour avoir été à sa place, de ne pas lui faire de reproches par rapport à ça : ça énerve encore plus et très souvent ça mène à replonger davantage.
Plutôt, tu peux aborder la question « As-tu déjà envisagé une vie sans alcool ? », en lui expliquant simplement que certaines personnes ne sont pas compatibles avec une consommation d’alcool. S’il est conscient du problème, il cherchera probablement d’abord à « vaincre » ses excès, en se tenant une promesse de ne pas dépasser les limites, le verre de trop… car l’alcool est tellement « normal » qu’on n’envisage pas de s’en séparer éternellement.
Pour être passé par là, maîtriser sa consommation, c’est impossible. Je pense en tout cas que c’est insurmontable quand on a un problème d’addiction.
J’ai moi-même été pendant longtemps un poison pour ma compagne et j’ai fini par avoir le déclic…
Comment je l’ai eu ? En réalisant que je n’étais « pas fait pour l’alcool », en disant merde aux normes sociales qui imposent presque de boire un verre à la moindre occasion, et en me persuadant qu’arrêter de boire, c’est vraiment trop la classe !
Tu peux aborder le sujet en lui demandant comment il se positionne par rapport à sa consommation, s’il a conscience de ses excès et jusqu’où il est prêt à aller pour tout résoudre (le zéro alcool semble l’unique et fatale solution).
En tout cas, quand la décision est prise et quand le pas est franchi, c’est une vie nouvelle qui commence et on ne peut pas le regretter ! Tous les témoignages te l’assureront.
Simplement, le plus difficile dans cette décision, c’est de vouloir la prendre…
Courage à toi Sophie en tout cas, même si la majorité des cartes est entre ses mains à lui, tu as peut-être quelques atouts à jouer !
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Par Sophie24
03/08/2022 à 13:25
Salmiot1
Tu parle de quoi quand tu parles du AA je lui souhaite vraiment de lavoir se déclic merci pour ton témoignage cela m'encourage à ne pas abandonné et a baissé les bras merci beaucoup.
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Par Sophie24
03/08/2022 à 13:30
L2o
Merci pour ta réponse oui il est conscient que l'alcool nous détruit il a eu un passé très compliqué d'où son problème d'alcool
J'aimerai tellement qu'il est se déclic et qu'il sauté le pas pour que l'on retrouve cette amour quand il y a pas l'alcool je n'ais rien a dire c'est un mec génial je suis une femme très patiente mais il y a defoie ou j'y arrive plus je souhaite qu'une chose c'est qu'il s'en sorte vraiment .
Merci beaucoup pour ton témoignage qui m'aide à ne pas abandonné ça fait du bien de pouvoir en parler avec des personnes qui son passé par se chemin là même si c'est pas moi la première concerné.
Merci L2o
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