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Vos questions / nos réponsesBonjour à toutes et tous,
Aprés une énième cuite hier au soir et l'inevitable honte de ce matin, je suis au travail aprés une semaine de vacances.
J'arrête, il faut que j'arrête.
Je bois quasiment tous les jours du whisky coca ( une bouteille de 70 cl).
Je suis une femme, j'ai 28 ans, et l'alcool m'a coûté mon couple, presque ma famille, mes études...
Aujourd'hui je suis heureuse je suis fonctionnaire et mon boulot me plait. J'ai face à moi tous les jours des personnes dépendantes et c'est d'autant plus dur pour moi...
Je souhaite arrêter.
Une des difficultés c'est que je ne peux pas me rendre dans un CSAPA ou dans un groupe de paroles, parce que c'est là que j'oriente mon public..
Mais je vais y arriver!
Merci de votre soutien.
Bonjour,
et ton médecin traitant ?
Courage
Bonjour et merci de ta réponse
Je viens de changer de région donc de médecin.
J'ai beaucoup de mal à aborder ce sujet ( d'où la praticité d'internet) et je ne lui en ai pas parlé avant...
Mais de toute façon je vais le faire je n'ai pas le choix
Une idée, comme cela : pourquoi ne pas lui écrire les grandes lignes sur une lettre en lui disant que vous avez du mal à en parler ?
Bonjour,
Je suis malade alcoolique abstinent depuis bientôt 10 ans, il ne faut pas avoir honte d’arrêter de boire, je fais des sensibilisations au danger de l'alcool chez les jeunes et quand il me demandent si je n'ai pas honte d'en parler je leurs dis simplement
J'avais honte quand je buvais je ne vais surement pas avoir honte d'avoir arrêté
Merci à tous pour le soutien et le courage envoyé!
Je vais y arriver! Et bravo pour l'abstinence
Bonsoir,
Vu le volume il est importent de ce faire aider. Le manque peu provoquer des crises graves s'il ni a pas un traitement adapté derrière. pour ma par c’était du valium pour le sevrage. (10 jours à l’hôpital et 5 semaine en cure dans les Alpes).
Je n'ais pas touché depuis, c’était en 1998.
La dépendance disparaît mais l'envie de boire, jamais totalement.
Ce rendre compte de sa maladie est déjà un grand pas, alors Bravo.
Bon courage. Olivier
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