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Quand je buvais j'étai suicidaire, voila se que j'écrivais.

Par pascalb302

Mon amour, puisse ces quelques mots te rassurer. N'est pas peur, je suis bien arrivé. Ici pas de malheurs, pas de peur. Les gens diffusent sans pudeur la bonne humeur. Des animaux splendides déambulent sans hostilité dans les prés. Pas besoin de s'évader, pas besoin de tricher. J'ais laissé en passant la substance au diable.
Je suis heureux parce-que je sait qu'un jour je t'acceuillerais, ici, au paradis. En attendant ma douce ne soi pas triste, le bonheur existe.

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4 réponses


Pepite - 08/09/2022 à 15h57

Bonjour Pascalb302,

Je suis impressionnée par cette poésie.

J'en suis bouche bée.

Avec délicatesse et finesse vous exprimez ce qu'une personne dépendante éprouve et attend.

C'est un bijou.

Signez la et continuez à la partager, peu importe le réseau choisi.
Car l'art est magique.

Bien à vous,

Pépite

Profil supprimé - 08/09/2022 à 16h54

Bonjour
Sinon, vous avez arrêté quand l'a boisson ? Comment ?
Perso, je ne suis suicidaire qu'à jeun...
Cordialement

pascalb302 - 08/09/2022 à 20h59

Bonjour Pepite et merci,

Ceci est un exercice que j'ais été emmené à faire en atelier d'écriture durant mes moments de sobriété. Je ne suis pas instruit et je fait donc beaucoup de fautes d'orthographe et de grammaire mais je lis beaucoup et je n'écoute que des chansons à texte. Je pense que grasse à cela, j'arrive à construire quelques texte.

Durant la post cure, cet été, on nous a demandé d'écrire notre histoire concernant l'alcool. Puis que vous êtes sensible à ce genre d'écriture, je vous en fait donc part.

Très jeune je t'ai rencontré

Tu m'a tout de suite intrigué

Alors discrètement je t'ai observé

Puis je t'ai abordé

Tout à coup je me suis senti libéré

Dans les soirée je me suis éclaté

La vie à pleine dent j'ai croqué

Plus tard j'ai réalisé

Que sournoisement tu me trompai

J'ai voulu te quitter

Mais tu m'avais attaché

Lentement j'ai glissé

Le fond du gouffre j'ai touché

Petit à petit je suis remonté

Sur le rebord je t'ai croisé

Mais cette fois je t'ai ignoré

Car de ta prison je m'était évadé

Bien à vous Pepite.

Pepite - 09/09/2022 à 14h14

Bonjour,

Bravo.

Ne lâchez rien.

Je vous embrasse

Pépite

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