Bonjour,

Je ne sais pas pourquoi je suis sur cette page actuellement, peu être un besoin d'evacuer ou de partager mon expérience.

Je m'appelle Cassandra, jai 26 ans, je suis receotioniste polyvalente dans un hotel ibis.

Jai commencé a boire a 14 ans apres un gros traumatisme d'ordre sexuel.
C'était pour la défonce au debut et 12 ans apres c'est toujours present.
S'en ai suivit les consommations de cocaïne, exta, lsd, ké et enfin l'héroïne.

Je me shoote depuis des annees et je bois environ 8 canettes de 50cl a 8degré (amsterdam, 8.6)

J'ai fais une cure de désintox en fevrier, un echec vu que je vous écris avec une canette entre les jambes et des bras avec des traces et des bleues partout du aux seringues....

On me considère comme "une belle femme, forte, avec du du caractère, fine, jolie, intelligente, qui se detruit"
Jai une colère interieure qui me bouffe, je supporte plus que l'on me regarde, surtout le regard des hommes.

Je me complais dans la fille qui boit plus que ses copains et qui est la jolie toxico et alcoolo du groupe car je me vois comme ca.

Lundi qui arrive donc le 19 aout je repars en cure de desintox, je n'ai jamais perdu espoir et je crois dur comme fer que je peux avoir une belle vie et me débarrasser de ces addictions.
Bien sur cela passe par plusieurs etapes comme : couper court avec certaines fréquentations, avoir un suivit egalement a ma sorti de l'hôpital, arriver a mettre des mots sur mon passé, me débarrasser de cette colère.

On ne peu nier qu'on est totalement malheureux et dépendent de 1 ou plusieurs addictions de merde. Les annees passent, certains arrivent jusqu'à 50 ans sans chico, sans famille, sans boulot....
Moi je ne veux pas terminer comme certaines connaissances, je veux avoir un jour des enfants et etre heureuse.

Je ne sais toujours pas pourquoi je suis la a raconter ma vie de merde mais si javais jn message a faire passer :
Il n'est jamais trop tard pour se battre, chaque personne est IMPORTANTE et mérite une vie belle et meme quand on se sent particulièrement seul on ne l'est jamais vraiment