Profil supprimé - 31/07/2014 à 17h09

Bonjour Voda,

je viens de m inscrire ici car j ai le meme problème que vous. en lisant votre témoignage j' ai l impression de lire mon histoire avec mon ami.Je me suis vite rendu compte qu il buvait en cachette et j ai dailleurs trouvé plusieurs ois des bouteilles vides cachées.Je lui alors parlé calmement de ce problème et au début il a nié puis a reconnu son problème avec l alcool,il m a d'abord promis qu il arreterait mais il a vite recommencé et cela 2 fois.et pareil dépression ,envie de rien, obligée de l envoyer se doucher, et toute la journée canapé ou lit.... J ai pu le décidé a consulter son médecin en l accompagnant à son rdv, mais ca à pas été facile, car il y a ce sentiment de honte de dire que l on est alccoolique. on est sortis du rdv avec un rdv à prendre chez l addicto. j' étais contente car 4 jours sans une goutte d'alcool, mais j ai vite déchantée ,je suis partis 3 jours (on ne vit pas ensemble lui vit chez sa mère), quand je suis revenu j ai tout de suite vu qu il avait bu meme si il le niait.grande discussion entamée avec sa mère , son frère et la il a fallut que ca pete,on l a mis en face de son probleme de manière pas très douce je dois dire.on a retourné sa chambre et on a retrouvé une grande quantité de bouteilles vides cachées.je n ai pas été tendre avec lui je lu iai dis ce qu il était devenu ,le mal qu il faisait autour de lui et je suis partis en lui disant que je ne reviendrai pas tant qu il ne decidera pas d arreter de boire.
Aujourd hui nous en sommes a une semaine sans alcool, j appelle sa mere tous les jours pour savoir ce qu il en ai .
il me dit qu il a compris qu il ne ressentait pas le manque qu il m aimait et qu il voulait pas me perdre,le soucis c est que j aimerais qu il consulte quand meme car sans aide j ai peur qu il replonge rapidemment. ha j oubliais il a commencé depuis 3 semaines un traitement anti depresseur qui je pense l aide pas mal.
Je comprend ce que tu ressens et ce que tu traverses rien de pire que de voir l homme qu'on aime se détruire à petit feu, mais tant qu ils n' ont pas le déclic malheureusement on ne peut pas grand chose.
courage à toi!!!

Profil supprimé - 02/08/2014 à 19h21

Bonjour Canelle,

Merci pour ton témoignage, comme tu le dis il faut que le déclic se fasse pour qu'il arrive à se décider pour faire quelque chose, pour le moment ce n'est pas le cas, et sa santé est en péril malheureusement...
Je vois que ton ami a fait un grand pas en avant en consultant un médecin, et en décidant de voir un addictologue. J"espère que le traitement anti-dépresseurs pourra l'aider à surmonter son envie de boire, et que progressivement ça ira mieux. Bon courage à vous aussI.