Par chat

Chattez avec
Alcool Info Service

Par téléphone

Alcool Info Service répond
à vos appels 7 jours sur 7

Contactez-nous

Adresses utiles

Forums pour l'entourage Télécharger en pdf Imprimer Envoyer à un ami

Co-dépendance et fonctionnement du couple alcoolique

Par Force2Courage

17 réponses


Force2Courage - 26/10/2023 à 15h45

Bonjour,

Je partage tout à fait ce que dit Bartimee.

Presque un an que j'ai écrit ce texte, mon dieu j'en suis toujours au même point. Je crève d'envie de partir, j'en crève tout court. Mais je n'arrive pas à faire face à son chantage au suicide. Mon psy me dit que c'est du chantage et rien d'autre. Et que de toute façon je ne suis pas responsable de sa vie. Mais j'ai trop peur de porter cette culpabilité!

Du coup, je l'envoi 4 mois en vacances loin de la maison.... Bravo, comment se sacrifier encore plus sur l'hôtel du mariage! (et oui, il ne travaille pas à l'année longue et je gagne bien ma vie, du coup il est dépendant financièrement mais en profites bien)

Maryelle - 26/10/2023 à 22h39

Bonsoir à toutes ,

Je cherchais sur le net un peu de réconfort, quelques mots pour peut être me donner la force et le courage de quitter la même situation que toi force2courage ! En te lisant j avais l impression de lire mon histoire sur laquelle jai du mal a mettre les mots ! Depuis ma naissance je n ai connu que l alcool avec une mère alcoolique j'ai quitte le cocon familiale il y a 18ans pour rejoindre ce que je pensais etre mon sauveur qui en faite était pareil. Au début c était l alcool festif je ne men rendait pas compte puis c est devenu au fil des années insupportables aujourd'hui. Rabaissement mensonges dénigrement et j'en passe . Il a été dans un centre d addictologie à 2 reprises mais n à jamais continué le suivi , aujourd'hui je suis suivi également la bas en psychologie depuis plus de 2ans . Mais je tourne en rond , au début j'ai fais un gros travail sur moi même et comment gérer les crises mais aujourd'hui je désespère car je suis au même point d il y a 2ans et que j'ai beau lui parler dans tout les sens dans les moments où il n à pas bu , le schéma se répète éternellement en boucle et il recommence de plus belle et ne tient pas ses paroles . Je veux partir mais je n y arrive pas , comme toi je me répète que je suis la grenouille qui n à pas su sauter à temps! J'ai également le chantage au suicide , et je porte trop de responsabilité qui ne sont pas les mienne , j'ai honte de son comportement donc nous ne sortons plus ensemble les moments à 2 sont inexistant. J'ai perdu toute confiance en moi , toute motivation , il m'a fait perdre mon travail , et jusqu'à peu je ne ressentais plus les émotions positive .

Elyne - 27/10/2023 à 09h51

Bonjour à toutes,

Maryelle j’ai fait plusieurs thérapie moi aussi qui n’ont mener à rien moralement parce que ce n’était pas ce qu’il me fallait, aujourd’hui je suis suivie par une psychologue qui pratique l’ICV c’est une méthode un peut particulière qui permet de remettre les souvenirs à leur place en quelque sorte, on me l’a conseillé parce que comme toi j’ai toujours vécu avec des alcoolique dans mon entourage et l’alcoolisme de mon conjoint me faisait en quelques sorte revivre de mauvais souvenirs et je ferai aussi mal qu’à l’époque..
Ça m’aide pas mal

Actuellement mon conjoint est reparti en cure depuis 2 semaine , je me pose toujours mille questions sur l’avenir,. Ses menssonge etc…. mais ça me donne une petite bouffée d’oxygène qui fait du bien .
Reste à voir si ça va tenir cette fois

Maryelle - 27/10/2023 à 10h12

Bonjour Elyne merci de ta réponse, je vais me renseigner sur ICV . Pour ma part il ne veux pas se soigner nous avons été plusieurs à lui tendre la main mais il ne veux pas il pense que ça va tomber du ciel un miracle , un don de dieu je sais pas! Son docteur lui a proposé une cure mais il pense que quelques jours suffisent hors il a déjà arrêté des jours voir quelques semaines mais ça n'a rien donné tant qu'il continuera à boire ne serait ce qu occasionnellement, ou que sa famille et ses potes ne comprendront pas qu'il faut 0 alcool . Sa famille ne m'aide pas et ses amis ne sont pas au courant . Pour ma part le seul moyen est de partir je suis jeune et j'ai pas envie d être malheureuse encore toute ma vie . Mais comment reste à trouver la force et le courage les bons organismes avec les bonnes personnes ! J espère que la cure pour votre conjoint sera bénéfique ! Et que vous vous en sortirez !

Louise2017 - 28/10/2023 à 08h06

Je suis émue de voir que beaucoup de personnes sont dans la même galère...je n'imaginais pas!
Je pensais que c'était moi qui n'avait pas su ouvrir les yeux assez vite sur ce fléau
Je suis maman de 3 enfants, 2 d'un premier mariage et une adorable fille avec la personne qui des soucis graves de boisson ...
Moi même boit un verre volontiers mais la plupart du temps, je suis lucide et capable de gérer la situation...
Sauf que ces derniers temps, j'ai envie de décompresser et jai tendance à faire plus la fête en buvant un verre(entre amis,famille,...)
Donc, pour ne pas tomber dans ces excès, j'évite les réunions, les lieux de tentation ...
Mon compagnon boit en toute occasion, la soirée ou dès qu'il a fini le boulot...
Je ne peux pas contrôler la quantité, pour moi il est tellement imbibé chaque jour ...tout cela m'irrite à un point pas possible .j'essaie de prendre soin de moi, mais en gérant tout chez moi, mes enfants et mon boulot, je suis en dépression je pense...je dors pas bien, je suis épuisée la journée et incapable de réfléchir ...
Je sais ce qu'on ressent quand on dit qu'on ressent de la honte devant ses amis,sa famille,..et on en discute, j'ai déjà posé des ultimatum,menace de partir ...des promesses en l'air, dès que l'occasion se présente, les résolutions sont très vite au placard...
Je n'ose pas aller voir un psy et jessaie de vaincre seule mes démons ...
C'est sûr, notre couple est mort et tout ce que je veux c'est qu'il suive une thérapie afin de s'occuper de sa fille comme il se doit, car bien souvent il n'est pas en mesure de s'en occuper, de la chérir ...pour l'instant, elle sait qu'il boit ses canettes mais elle se rend pas compte ...
Je suis si mal de cette situation, souvent j'ai envie de mourir et je me bats uniquement pour mes enfants ...
Ma vie est ruinée, je devrais me battre pour assurer seule ma maison etc ...j'espère tjs un miracle, mais la déception prend souvent le dessus
Je vous souhaite beaucoup de courage...

Orph - 29/10/2023 à 07h59

Admiration à toutes, merci à Force 2courage pour la clarté avec laquelle vous avez décrit la co-dépendance et à Bartimee pour vos conseils ou invitations à vivre, tellement justes.
C'est de cette invitation à vivre que je souhaite parler: il y a une différence entre survivre (à nos souffrances...) et Vivre.
Souvent on reproche à l'autre de ne pas nous permettre de vivre alors qu'on en sent l'impérieuse envie: on sent aussi qu'on pourrait partager de la joie et de la vitalité sans les mécanismes dévastateurs qui ont pris le dessus. Aimer c'est vouloir vivre. L'ivresse d'aimer, c'était aussi à cela qu'elle nous donnait accès, une porte grande ouverte sur la belle joie de Vivre.
Mais le conjoint choisi inconsciemment l'était aussi pour ses failles derrière l'amour, des failles qui nous rassuraient, familières, connues, qui ne nous mettaient pas trop "en danger" par rapport à notre manque de confiance d'alors, aux représentations étroites, limitées, fragiles, dévalorisées, fausses que nous avions de nous ou /et de notre famille d'origine. Derrière l'Amour, on reconnaissait paradoxalement les mêmes peurs mais aussi (à divers degré pour chacun peut-être) la même envie de vivre. Au minimum, cette dernière était :"on va bien s'en sortir "ensemble"!"
On ne peut pas se reprocher de n'avoir pas compris par le passé ce qu'on ne pouvait comprendre alors, ni d'avoir agit en conséquence de ce qu'on comprenait de travers. Mais au présent, on peut exiger de l'autre et de soi de réfléchir et d'avancer.
Quand certaines représentations fausses tombent, on voit autrement: et on agit autrement, sinon "on crève".! On respecte la Vie en soi. A l'autre de le comprendre, ou de l'accepter, et de se nourrir s'il le peut de nos choix liés à notre nouvelle compréhension.
Quand on quitte nos vieux schémas, on sent qu'ils ne valent plus rien pour nous: ils sont remplacés par une envie de vivre qui ne nous avait jamais quittés mais qui est devenue limpide. Le goût de la vie, nettoyé de nos "névroses" (ces vieux schémas mentaux qui nous aveuglaient) nous permet d'agir au présent avec une toute nouvelle simplicité. Nous pouvons suivre notre Désir de vivre, fait de nos désirs divers sur lesquels on n'a plus à culpabiliser pour tel ou tel prétexte (les reproches du conjoints liés à sa morosité, ses handicaps psychologiques , sa névrose, qui correspondaient si bien aux nôtres et pourquoi ils avaient un impact). On voit bien maintenant que tous nos interdits de vivre sont issus de notre imaginaire, de notre enfance ... mais que ça ne tient pas la route.
Regarder juste devant nous, la beauté du monde comme le dit Bartimée, ne nécessite plus que d'ouvrir les yeux sans tous le fatras d'imaginations et de culpabité inventée qui nous en empêchaient jusqu'alors.
S'autoriser à poser notre désir disent les psy. A reconnaitre notre désir de vivre qui n'a besoin d'aucune autre justification que lui-même. (La psychanalyse peut aider à se libérer de tout ce fatras encombrant qui empêche d'accueillir la vie, avec son intensité, au présent... et d'agir en conséquence. Cela m'a aidé, personnellement, la troisième était la bonne happy. Une femme simple, à l'écoute, intervenant avec justesse sans baratin théorique: efficace!).
Et celui qui nous aime doit aimer notre désir de vivre comme nous aimons le sien, le reconnaître, le respecter: personne n'est autorisé à nuire à ce désir de vivre: il est légitime, inhérent à notre existence.
Or souvent, c'est là-dessus que le conjoint pèse avec sa dépendance, ou nous mêmes avec la nôtre.
Or chacun doit trouver le sien et le poser, le partager ensuite si c'est possible, dans l'Amour.
S'accompagner , cheminer à deux pour trouver cela à travers notre histoire commune, c'est possible... si les deux peuvent prendre conscience que c'est ça qu'ils cherchaient, à travers l'autre, ou avec l'autre.
A travers l'autre c'était un peu une erreur puisque c'est en nous, mais nos névroses, nos aliénations diverses, entretenaient cette confusion dans l'amour, avec l'amour.
Mais malgré cette erreur de représentation, c'était bien avec l'autre que nous avions décidé de cheminer.
Aujourd'hui, soit il est capable de s'en rendre compte et de continuer à évoluer en même temps que nous, soit il n'est pas au même point, soit il ne le sera jamais.
Dans tous les cas l'Amour n'est pas en cause. C'est le développement individuel. Deux être accomplis et autonomes partagent de l'amour, mais aucun n'est dispensé d'évoluer sur le chemin de son être, au prétexte de l'amour. Au contraire, l'amour partagé doit nous galvaniser pour être nous-mêmes. Un prétexte d'amour qui nous l'interdirait, ne serait pas de l'amour mais une prison.
Soit on se rend compte avec notre nouveau désir de Vie clairement identifié qu'il ou elle n'est plus la personne avec laquelle nous voulons partager de l'Amour amoureux, même si nous l'aimons toujours comme la personne la plus chère au monde, avec laquelle nous avons fondé une famille, d'où sont nés nos enfants, nés de la passion et de la puissance de vie, et dont nous sommes fiers et heureux.
Soit on s'aime toujours d'amour amoureux, mais l'amour et l'aliénation sont incompatibles. Et on prend trop souvent l'un pour l'autre. Toxiques alors l'un pour l'autre.
L'amour n'est partageable, ne reste partageable alors que si l'autre évolue, plus ou moins au même rythme que nous. S'il n'en est pas encore là, prendre le large et attendre que l'autre évolue de son côté en lui faisant comprendre que ses névroses regardent un psy, que vous ne gardez que la personne de qualité qu'il est , tout là-dessous, mais que le travail de nettoyage, c'est à lui de le faire.
Ou patienter. Mais lui reste dans son monde névrotique, et cherche à nous y enfermer. Les mêmes reproches interminables qu'il doit adresser au psy et qu'on se prend continuellement s'il n'a pas entamé un travail sur lui-même. Et même s'il l'a entamé, dix ans n'y suffisent pas toujours et peuvent rester invivables si sa prise de conscience sur ce point que les reproches qu'il nous adresse concernent son passé, ses aliénations, et se superposent, se plaquent sur une situation prétexte la plupart du temps.
La séparation est encore un cadeau, à se faire à soi et à faire à l'autre. Vraiment, à l'autre aussi!

C'est ce que nous venons de faire avec ma compagne après trente ans de vie commune. Deux ans de séparation avec des retours et de l'accompagnement réciproque. Nous avons compris les aliénations et toxicités qui nous ont réunis, servis de béquilles puis étouffés. Et c'est maintenant que nous sommes en train de tenir la promesse de notre rencontre, promesse non verbalisée mais tellement forte: "aide-moi à devenir moi-même!" nous étions-nous murmurés à l'oreille de nos vingt ans..., inconsciemment.
Bien sûr nous n'avons pas échappé aux scènes de violences verbales parce que nos schémas, nos crispations diverses étaient violentes: nous croyions dur comme fer... à des représentations fausses, sur l'autre, sur nous-mêmes, finissant par étouffer qui nous étions vraiment.
Parfois l'un appelle vivre ce qui n'est que de la survie, (il ne peut voir ce qu'est Vivre à cause de ce qui fait écran dans sa tête) et veut y cantonner l'autre parce que ça lui va donc à peu près. Mais pour l'autre, c'est devenu insupportable, parce la promesse était de vivre et qu'il a compris que ce qui lui allait , ne lui va plus.
On ne peut déroger à exigence de vivre quand on l'a comprise pour soi-même. On suit son chemin. Avec amour, toujours mais l'autre fait le travail, ou ne le fait pas. On peut le comprendre, ça lui appartient mais on n'a pas/ plus à le subir.
Personnellement, j'admire ma compagne depuis ces deux années tumultueuses: elle aurait voulu rester dans le "confort" invivable, toxique dans lequel nous nous étions enfoncés. Hostile à toute démarche psy ou autre, elle s'est risquée à tout remettre en cause.
En deux ans, elle a soulevé des montagnes pour naître vraiment à elle-même.

Ainsi force2courage, laissez vous être force2vie happy si vous me permettez ce jeu de mots, et prenez ces quatre mois de vacance pour vous. Car vous lui offrez ce que vous aimeriez qu'il vous offre, même deux jours en bord de mer ou ailleurs. Et dites -lui, "cette fois-ci, c'est pour moi! Car j'ai envie de Vivre. La survie, c'est fini! Quand tu seras décidé à vivre, rejoins -moi.
Croyez-moi, et c'est en homme que je vous dis cela, cela le fera réagir.
Montrez-lui que vous avez choisi la vie.
Plus tard, il peut arriver que vous trouviez la vie plus agréable, sans lui. C'est le risque, mais un beau risque pour lui aussi.
S'il est généreux, l'homme que vous pensez qu'il est, vous lui offrirez alors à lui aussi de prendre le risque de vivre; seule condition pour se retrouver.
Et si c'est en ami, et plus alors en amoureux parce que les chemins, les désirs de chacun devenu libre peuvent changer, c'est alors à la plus belles des amitiés que l'on a affaire. Celle par laquelle chacun est devenu lui-même.
Cette amitié-là reste une des plus belles formes d'amour qui soit. On redécouvre l'autre parfois comme on ne l'avait jamais connu, juste pressenti, et nous sommes profondément heureux de le voir heureux, enfin lui-même et vivant comme nous le sommes. Et même si notre désir amoureux comme le sien, peut se tourner ensuite vers d'autres personnes, l'amour qui reste partagé est immense, car nous savons que nous y sommes arrivés ensemble, même si la séparation en était une étape.
Promesse des vingt ans tenue. Vivre. Être heureux.

La beauté du coucher du soleil, comme celle de ses couleurs magnifiques au lever, c'est maintenant!

Force2Courage - 30/10/2023 à 20h38

Merci Orph pour ce magnifique texte, oui tu as raison, nous devons vivre et non pas survivre.
C'est ce que j'ai compris il y a un peu plus d'un an aujourd'hui. C'est ce qui m'a fait relever la tête, sortir de ma dépression. Je suis en vie, j'en ai le droit et le devoir.
Mon cheminement aujourd'hui est cependant partiel : je vis pour de vrai avec mes amis en dehors de la maison quand je m'accorde une pause (ce qui arrive de plus en plus souvent...) Je vis quand je suis au travail, car j'adore ce que je fais. Je me suis remise au sport, j'ai renoué les liens distendus avec mes proches, et je vis quand il n'est pas là.... Mais la moitié du temps, je retiens mon souffle et je ne fais que survivre parce que je suis à la maison avec lui... Je ne parle plus que de la pluie et du beau temps, des courses et des repas, car tout autre sujet peut déraper, et que je n'ai plus la force de gérer des conflits. Quand il est agressif et qu'il cherche à piquer, je pars, je hausse les épaules, je l'ignore et je serre les dents. Et cette boule au ventre de savoir quand est-ce que ça va à nouveau déraper ne me quitte jamais. Il faut quand même comprendre que grâce à ce mécanisme, nous n'avons pas eu de grosses disputes depuis avril 2022. 18mois d'esquives!!! (alors que c'était tous les jours, toute la journée les deux années précédentes) Nous avons eu tout au plus une dizaine de début de disputes que j'ai écourté. Mais le revers de la médaille c'est que d'une part, ça éteint peu à peu tout sentiment d'amour en moi. Psychologiquement je m'éloigne et je fais mon deuil de notre couple qui n'existe plus que dans sa tête. Et d'autre part, le ressentiment enfle, et je sens que j'ai besoin de l'extérioriser de plus en plus souvent à l'extérieur, par le sport, les promenades, les conversations toute seule devant ma glace à m'imaginer enfin vider mon sac devant lui, ou en vous écrivant ici...

Donc pour l'instant je ne suis qu'à moitié vivante, et à moitié prisonnière, et le constat est qu'il ne m'a absolument pas suivi sur le chemin de la vie... Et que ma vie m'attire de plus en plus, les lumières, les couleurs, les sourires et les rires. Et que je me découvre une furieuse envie de voyager et de découvrir de nouveaux horizons...

Encore merci pour vos mots et l'espoir qu'ils contiennent!

danny2b - 01/11/2023 à 08h01

Bjr,
Pour moi c'est exactement pareil en tous points sauf que ...
Je suis un homme et dieu merci nous n'avons pas d'enfants on est ensembles depuis 10 ans mais quand je dis 10 c'est 10 ans de ruptures et de reprises car elle n'arrive pas à se séparer vraiment de son ex également alcoolique et adore le voir tous les jours et est toujours bien en sa présence même si elle dis que c'est moi qu'elle aime et sue lui c'est soit disant un ami intime avec qui en passant elle m'a déjà trompé 4 fois au minimum je dit bien au minimum et quand on rentre à la maison avec moi ce n'est que cris et reproches elle boit une dizaine de bières à 7.8 degrés par 24h ...
Ce que j'aimerai c'est d'avoir des réponses de cas similaires ou au minimum ou c'est la femme qui est alcoolique
Je vous remercie hormis cela tout est identique à ce que j'ai lu et je répète elle m'assure quand elle est un peut de saoulée que c'est moi son amour que c'est avec moi qu'elle veux vivre et que elle ne l'aime plus et ne veux plus vivre avec lui même si elle veux le voir tous les hours est heureuse en sa presence il faut re présiser qu'il est également alcoolique et cocainomane comme elle et que tous les jours elle se plaît de moi sans raisons et ne fait que gurlercztcen viens même aux mains voir avec un couteau elle a d'ailleurs poignardé un autre ex dans le même contexte sous coke et alcool voilà il y aurait trop à dire j'attends vos retours et suggestions je précise que je bois pas ne prends pas de coke mais que pour tenir le coup et ne pas la violenter je me bourré de calmants et d opacies ce qui empêche bien entendu de bander et d'avoir des rapports sexuels "normeaux" et souvent ce qui bien entendu agrave encore la situation
Merci de vos retours Daniel 40 ans

Répondre au fil Retour