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Deuxieme tentative

Par Profil supprimé

35 réponses


Profil supprimé - 22/02/2017 à 19h34

Bonjour,
Bon je pense que vous avez trouvé comment vous retrouver, sinon les autres etaient allés sur doctissimo je crois, enfin ca ne doit pas manquer les forums avec des messages prives :happy

" comprends bien ce que tu dis, tu différencies la dépendance crée par des rituels qui créent eux même l’habitude donc la dépendance.
Puis les failles

Oui il y a une forme de dependance liee au rituels je pense, on ouvre une canette pour faire a manger, sortir le chien, l apero, le contact aux autres. Mais en fait la je parlais du manque du au produit en lui meme. Quand l arret est frais, peu de chose peut reveiller une envie. Un rayon de supermarche, une terrasse de cafe au soleil, une pub a la radio ou la canette s ouvre. Ou un de ces moments rituels. Et dans ces cas la l envie est vive mais c est juste les connexions du cerveau, ca prend pas profondement le ventre. Une fois apres quelques mois d arret je me retrouve au moment du dessert a une table. On me tend un gateau, je prend une grosse bouchee, c etait au rhum. Ce fut tres vif, violent, toutes mes cellules attendaient la suite, toutes en eveil tournees vers l alcool. Mais tu vois c etait juste lie au produit, il n y avait rien de touche en moi. La vue, l odeur, les moments de rituel peuvent eveiller ce type d envie.

Puis oui, les failles...


mais qui dit faille dit fragilité non? enfin je l'entendais comme cela...

Oui bien sur, une fragilite ressentie depuis longtemps, pas forcement identifiee.
Mais parfois au fond de ces failles on trouve des richesses happy.

Le nectar doit venir anéantir les angoisses, la solitude,la nuit, l'ennui, la mort, l'amour... tout ce qui a toujours existé et existera après nous alors au lieu de les affronter, de régler le(s) problème(s) en y trouvant nos réponses au plus profond de soi, il m'a été tellement plus simple de m'abreuver de cette potion magique...
Je dois me situer dans le deuxième type "d'envie"blunk

Bienvenue au club happy Mais tu verras qu en sortant un peu, en cotoyant l alcool le premier type d envie peut se presenter. Si c est le cas faut juste zapper un instant, partir aux toilettes, respirer, faire des pompes, autre chose que laisser l idee et la sensation se repandre.
Pour les autres, le travail est different, plus profond.. Mais tres riche.


Tu connais tollé!! super! j'ai décroché au quart du bouquin mais je dois m'y remettre je pense que je serai plus concentrée à présent

Je crois que c est un livre a lire clair, justement quand on n endort plus nos peurs dans les vapeurs ou les fumees. Plus qu une question de concentration c est une question de connexion blunk En s amusant comme il dit, dans pleins de moment de la journee, a etre le temoin de ses pensees on trouve vraiment quelque chose qui libere. J ai trouve tres interessant avec un ou deux psys de verbaliser des choses qui me pesaient, de trouver les sources educatives, "historiques" de cette addiction, mais les choses qui m en ont le plus libere ont ete autres. Pour moi une des causes principales est une forme d hyper sensibilite, je l ai compris et en ai decouvert les bons cotes. Ca ce fut important, puis pour la gestion de la pensee, des emotions ce bouquin et d autres qu il a ecrit m ont vraiment guide et d une certaine maniere "eveillé".

Pour ce qui est du regard des autres.. En fait les personnes qui comptent comprennent et en sont contentes pour vous, les autres... Ben on s en fout happy Generalement avec les gens que l on ne connait pas trop un non merci et un sourire ca passe, et apres meme s ils insistent et que vous etes amenes a dire" c est plus pour moi merci"elle est ou la honte en fait? Vous n en etes pas pour autant une affreuse personne, bien au contraire... happy
En fait j ai eu la"chance"d etre confronté a un bon souci de santé donc en balance il y avait la mort a court terme et de l autre cote le regard des autres. J en ai vite rien eu a faire. Ceux que ca gene le plus sont ceux qui boivent beaucoup, donc qui sont bien prisonniers de la drogue dont vous vous liberez, leurs regards ne pesent pas.

Tu as raison Kikou, l alcool est partout, se terrer ne sert a rien... Par contre il y a des lieux dedies a l alcool qu on frequente moins quand meme happy
Bon courage encore a vous, ca fait du bien, vraiment du bien de lacher ca...

Profil supprimé - 23/02/2017 à 11h52

Bonjour Flo

Tes passages sont rares mais très enrichissants aussi...
Pour ma part Gounelle m'a éveillée mais Antoine Filissiadis "Surtout n'y allez pas" a été le précurseur de cet éveil, de ce désir de me tourner vers moi.

Dis moi si je me trompe, mais je crois sincèrement que l'alcoolisme comme le tabagisme comme la dépendance affective naît du déni de soi et par la même d'un syndrome suicidaire vu que l’être ne connait pas ce qu'est Exister avec tout ce que cela implique..
Il est plus facile de s'auto détruire sans même en avoir forcément conscience ...

Je trouve curieux de pouvoir en parler aujourd'hui sans réserve, sans doute car j'ai pris la distance nécessaire, que j'apprends à me connaitre...à m'aimer...

Profil supprimé - 23/02/2017 à 18h36

bonsoir à tous,

pour ma part comme beaucoup, j'étais dans un déni absolu de mon état. Pourtant, je le savais, tout était évident pour moi. Le simple fait de penser à mon premier verre, dès le pied posé à terre au réveil, le fait de ma cacher pour consommer mon élixir de détente absolu... ne plus pouvoir m'arrêter une fois commencer...

Tout était là, mais être honnête avec moi même aura mis du temps. Pouvoir s'avouer à soi même que l'on est alcoolique et plonger un peu plus dans la honte de soi, de son état.

Entendre les reproches de son état d'ébriété plus qu'avancé de la part de son conjoint et ne pas être capable de dire stop.

Tout ça jusqu'à il y a 7 jours, où j'ai enfin pu en parler, anéantie, plus honteuse que jamais, mais je l'ai fait. Auprès d'un ami qui avait été mis au courant de mon alcoolisme par mon conjoint, derrière mon dos car il avait besoin de soutien. Cet ami a pu faire comprendre la situation qu'est l'alcoolisme à mon conjoint, qui ne comprenait pas que je puisse me réfugier dans l'alcool.

Nous étions 4 ce soir là, et j'ai tout dit, toute cette haine et ce dégoût que je ressentais à mon égard mais ce besoin irrépressible de boire. Ce bien être que je ressentais dès la première gorgée puis les larmes pour chaque verre que je me servais.

Ils ont été soufflés que j'en parle, m'ont félicité de mon courage d'avoir pris conscience que j'étais alcoolique, d'avoir pu passer le cap de la honte pour en parler, d'avoir su demander le l'aide.

Donc oui je ne suis qu'à 7 jours sans une goutte de poison dans mon organisme, et chaque jour est un combat... j'y pense tout le temps, j'en ai envie... mais NON!!!! je veux me battre pour moi mais aussi pour l'homme qui partage qui partage ma vie et que j'aime plus que tout.

Alors pour me motiver, chaque jour, j'indique sur mon agenda à combien de jours d'abstinence je suis... aujourd'hui à 17h00 j'ai pu noter J7... je me suis fixée 17h00, car je ne suis pas à l'abri d'une rechute ou crise, et attendre ce moment glorieux où écrire ma victoire me boost toute la journée.

Comme beaucoup, je veux m'en sortir et je vais tout mettre en oeuvre pour, mais le soutien et l'écoute de personne meurtrie comme moi me permettront de combattre

Merci à vous qui aurez pris le temps de me lire et....

Aidez moi

Profil supprimé - 23/02/2017 à 20h20

Bonjour Karilear je ne sais pas si je vais pouvoir t'aider car pour moi arrêter a été relativement facile, je n'ai pas eu de céphalées de tremblements... +
comme je l'ai expliqué pus haut j'ai eu ce déclic! celui qui te fait prendre conscience de ton état et t'oblige à bouger...

Je ne l'ai pas fait pour qui que ce soit mais seulement pour moi...Bien sur comme Kikou j'ai eu des flashs, de ceux qui te rappellent l'heure de l'apéro ou encore passer devant le rayon vins...

Cela faisait 15 jours hier et je suis sortie avec mon frère et j'ai bu,pour voir...sans abuser, 4 coupes de champagnes! mais ce matin au réveil, j'ai profondément regretté cet écart!!

Comme tu le dis, chaque jour est un combat mais surtout une victoire!! tiens le coup surtout car de la honte, tu vas passer à une grande fierté!! tu as vaincu la première semaine! c’était la plus dure je crois, maintenant réapprends à vivre!! je te jure que ça vaut le coup!!

Profil supprimé - 23/02/2017 à 23h22

Bonsoir Karielear.

Malheureusement tu ne liras que demain matin, ma réponse, a tes écrits ci-dessus. Désolé, mais malheureusement, (ou heureusement, je ne sais pas), il faut un certain temps, pour que nos messages soient diffusés.

Tout d'abord, saches, que j'ai été très touché, par ton histoire. Nos propres histoires sont toutes différentes les unes des autres. Avec a chacun, sa consommation, ses quantités de consommation, ses raisons de consommation.

Ce que je retiens de tes écrits (en autre), est que tu t'ais d'abord avoué la vérité. Comme nous tous, tu t ais avoué avoir un problème avec l'alcool. Bravo !! premier grand pas, de fait. Je te trouve très courageuse, d'en avoir parlé a tes proches (conjoint, ami, ..). Te voila, avec un gros poids en moins. Tu as fait, une des plus dure chose, meme si ne nous mentons pas le chemin va etre tres long et souvent tres douloureux. Mais mille fois bravo.

Doublement bravo, pour tes 7 jours. c est superbe. Excellent début. Je ne doute pas que tu tiendras ses prochains jours et jours suivants. Saches une chose tout de même, les rechutes sont fréquentes. Mais comme tu le liras souvent sur ce site, chaque jour sans alcool est un jour gagné, et t'aidera si rechute il y a.

Si cela peut t'aider, saches que je suis à ma 17 eme journée ce soir, sans alcool. Les dix premiers jours, ont été très très durs. d'autant plus que je vis seul. J'ai donc trouvé soutien (merci a eux tous). Ils s'accompagnaient de tremblements, grosses suées, mal de tete terrible, imsomnie, etc puis au fil du temps, je me suis senti, beaucoup beaucoup mieux. (fin de tremblements, absence de suées, j ai retrouvé le sommeil, plus de taches rougeâtres sur le visage, etc ) Pour ma part, j'ai mis fin des le début, aux médicaments (seresta), oui il existe des médicaments pour t'aider pendant cette période d'arrêt. Après de longues discutions avec 17ELLE, j en ai déduis, effectivement prendre des médoc, c était remplacer une "merde" pour une autre. ce fut dur, mais voilà. J'en suis, le plus heureux... Je dirais j'en suis soulagé. Je sais très bien, que je reste très très fragile, c est une évidence même. De mon coté, j ai énormément passé de temps a réfléchir, à comprendre, pourquoi me ruer chaque soir, sur l'alcool. Je pense que ceci est à a mes yeux, plus que nécessaire a chacun. Sans cela, il me parait difficile de réussir, son combat.

Je te rejoins pour ce qui est de noter chaque jour, le nombre de jours, d'abstinence. Cela m'a et m aide énormément. J ai le sentiment, que c est vraiment un combat à soit même que nous faisons.
Par chance j ai croisé 17ELLE (et d autres) sur ce site, qui a commencé également son combat, le même jour que moi. Nous avons énormément échangé ensemble (nous confinions toujours, mais en privé) cela m a, nous a énormément aidé. même désir (mettre fin a ce fléau), même symptômes, sans porter jugement sur l'autre.

Tu trouveras soutien, parmi tout les membres de ce sites, et n'oublies pas que tu trouveras également soutien, auprès des membres de ce site, que ce soit par tél, chat... Ils sont vraiment à l'écoute des gens. Cela fait un grand bien, si besoin tu as d'en parler.

Pour ma part, je ne peux, te conseiller que de te faire aider par un médecin. Je sais combien il est dur, de s'y rendre mais tellement important. Je ne sais pas si tu as pris le temps, de lire, mon histoire, mais j en suis a ma deuxième tentative. A ma première tentative qui a duré plusieurs mois, je m'étais fait suivre par un médecin. Celui saura t écouter, te guider, et crois moi par expérience, te soulagera. Si tu as peur de te rendre chez ton propre médecin, les personnes du site, sauront te donner les coordonnées de médecins ou aides médicales, selon ton lieu de résidence.
N'oublies pas que nuls est médecin ici, ou à la tête d une cellule médicale, ne l'oublies surtout pas. Bien sur, nous t'aiderons, selon nos possibilités, en t apportant notre soutien, nos encouragements. N'hésites pas.... Cela fait énormément de bien, d'écrire chaque jour.

Dans tous les cas, BRAVO !!!!
Tu viens de prendre une excellente décision...
Bravo ! d avoir avoué a tes proches. C es très très courageux de ta part.
7 ème jour. que dire, c'est superbe... C'est énorme... Impressionnant.
Bravo, bravo, bravo.

Je pense que ton homme doit être très fier de toi. Mais avant tout, TOI.
C'est avant tout un combat contre soit même que nous faisons. Si tu es bien, ton homme le sera.

Très heureux que tu entres et nous t'ouvrons "grand la porte", de nos discutions. Te voila plus seule maintenant. N'hésites pas.

Reste a te dire, A Plus tard. je pense que tu seras à J8 dans quelques heures quand tu liras ce message. On auras tous, une petite pensée pour toi, a 17 H. Tu nous raconteras, si tu le souhaites.

Vois tu demain Vendredi, j appréhende, ce jour. Fin de semaine. veille de week end. Jour de courses (tentations), etc etc ... Mais pas question, de rester enfermé chez moi, ... pas question. Je t envie d'avoir un soutien proche de toi.

Excellente journée et encore "BRAVO" ...

Kikou27





Profil supprimé - 24/02/2017 à 19h54

Bonjour a tous,
Et bien ce fil est actif et avec une belle energie, c est agreable. happy



Dis moi si je me trompe, mais je crois sincèrement que l'alcoolisme comme le tabagisme comme la dépendance affective naît du déni de soi et par la même d'un syndrome suicidaire vu que l’être ne connait pas ce qu'est Exister avec tout ce que cela implique..
Il est plus facile de s'auto détruire sans même en avoir forcément conscience ...

Je fais, pour ma part, une distinction entre la dependance et l addiction. Je te laisse regarder ca si cela t interesse dans le fil sur les choses qui nous ont aides. Pour nous je parle d addiction et les causes semblent quand meme multiples. Heredite, environnement familial, stress, hypersensibilite ect... Un peu de tout ca a differents dosages suivant les personnes peut etre. Mais il y a quelque chose de tres interessant dans ce que tu dis et ce n est pas souvent qu il y a l occasion de l aborder ici.
Dans les moments de grosses alcoolisations, quand on sent que c est de l autodestruction, et apres l arret aussi, quand on s identifie a une forme de souffrance( c etait mieux avant quand je buvais, je ne pourrais plus jamais boire, je voudrais faire ca mais j ai ca ou ca), je ne crois pas que cela soit un deni de soi. Bien au contraire en fait. Dans ces moments il n y a que soi qui existe, nous sommes autocentrés.
Et si on y regarde bien est ce vraiment une envie de suicide? Je sais pas, moi quand on m a dit il te reste 3 ans j ai cherche a arreter. Si j etais vraiment suicidaire ben j aurai bu 2 fois plus. Je crois que c est plus ressentir la souffrance qui nous guide, et ce qui ressort demesuré de cette recherche de souffrance, c est l ego.
Et si tu es attentive a tes pensees tu peux observer ceci:
Le plus souvent elles s imposent a toi, sans que tu n ais rien demander, rien chercher. Elles t amenent soit dans le passé, soit dans le futur, jamais dans l instant present. Quand c est vers le passe, c est tres souvent sur quelque chose que l on t a fait, ou que tu aurais pu faire, faisant naitre du ressentiment, de la colere. Quand c est vers le futur c est soit pour enjoliver un moment qui sera peut etre horrible, ou pour creer un stress d une situation existant pour l heure juste dans ton esprit.
C est interessant de remarquer le lien entre pensees et emotions ressenties..
Dans ces deux cas ce qui se manifeste par ces pensees non choisies c est l ego. Il prend une place que l on croit naturelle, guide vraiment notre vie. Alors bien sur il est interessant de chercher a l equilibrer, ca peut largement apaiser, mais le faire taire de temps en temps ( c est pas facile happy ), amene autre chose, une paix plus profonde.
Ce bouquin m a montre ca je crois.

En fait si je me regarde buveur vers la fin, je vois un peu un petit garcon dans une souffrance d enfant, lui paraissant incommensurable.Souffrance guidee par une grande sensibilité, par un ego trop grand, trop petit, trop tout court. Souffrance existante mais faussee, d un monde incomplet, incomprise, souffrance de chagrin de mome.. Et cette souffrance je crois qu il n y a que l amour qui puisse vraiment l apaiser. Mais pas un amour affectif, uniquement d humains et d ego, quelque chose de plus universel. Quelque chose sans jugement, sans bien ou mal, sans mental, sans ego...Mais cela reste tres personnel blunk


Ces quelques verres de champagne peuvent te servir a eviter les autres, ils te montrent l eventail de solutions que va trouver ton cerveau pour reproduire ces connexions au plaisir.. Ne lache pas l affaire.

Kikou il y a beaucoup de soutien dans ton message, il est porteur d espoir et il y en a besoin ici ! happy

Profil supprimé - 26/02/2017 à 15h09

Bonjour à tous,
Lire vos messages, vos anecdotes, vos analyses, et vos conseils de lecture (fluohappy fait extrêmement de bien.
J en suis à mon 7eme jours, et c est dure, j ai un mal de crâne de compétition qui ne s arrête pas.
Et pourtant, je me sent tellement mieux.
J ai envie de boire mais je sais que je dois me sevré, éliminer cette toxine.
J ai peur de craquer c est sur mais je suis aller trop loin dans ma consommation. N ayant pas de limite :/
Je suis arrivé à 1 bouteilles de bourbon, 1 bouteilles de vin et quelques bières
J aime tellement tout ça mais je suis tellement gourmand que j en suis devenu alcoolique.

Mon désir serait de pouvoir ne boire qu un verre une fois de temps en temps, est ce possible?

Je ne pense pas en tout ça pas pour l instant.

J essaye de beaucoup lire, de me focaliser sur mes pRojets enfin avec un mal de tête qui ne s arrête pas.
Quelqu un aurait un remède? happy
Bon après midi à vous.
Nico

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