Par chat
Chattez avec
Alcool Info Service
Vos questions / nos réponses
Alcool Info Service répond à vos questions
Vos questions / nos réponsesChattez avec
Alcool Info Service
Alcool Info Service répond à vos questions
Vos questions / nos réponsesBonjour,
Je vous remercie d'avance de lire ce post.
Après 4 mois d'abstinence et de sobriété, j'ai bu. Je mets volontairement ce mot (bu) car "consommé" me parait moins dur et moins grave.
Me rendant compte du problème, j'ai voulu contacter le centre d'addictologie qui me suit : sans réponse ni rappel de sa part.
Mon conjoint, qui est au courant et à qui je l'ai annoncé de suite lorsqu'il est rentré du travail, m'a tourné le dos (du moins pour moi). En fait, il m'a dit : "C'est la dernière fois, sinon on se sépare". Je comprends qu'il puisse en avoir marre, mais ce n'est pas la réponse que j'attendais.
Je me suis sentie seule face à mon problème.
Je pensais que mon conjoint avait compris la situation, mais finalement, je me suis sentie jugée mais incomprise. Ai-je tort ? Possible...
La raison de la consommation ? Bonne question : il n'y a jamais vraiment de raison, ou peut-être trop de raisons...
Le mal-être est là. Même si j'essaie de faire en sorte de le combattre.
Ce "Démon" est bien présent, j'aimerai le tuer, mais il est trop fort.
Je suis égoïste de penser comme ça, mais je n'ai pas envie de replonger et j'ai peur !
Cathys
Bonjour,
pour ce que cela vaut, la prise d'un antagone m'a bien aidé pour éviter toute rechute. Je n'ai plus le nom en tête mais votre médecin traitant peut vous en prescrire.
Le principe est que cela ne coupe pas les éventuelles envies mais cela est censé rendre très malade en cas de consommation, même minime. Cela permet donc de se "motiver" si j'ose dire. Après, il faut bien le prendre tous les jours.
Courage
Vous n'êtes pas encore inscrit
Inscrivez-vous
Vous êtes déjà inscrit
x