Bonsoir, ce soir un gros sentiment de culpabilité. J’ ai du porter plainte pour violence conjuguale contre mon conjoint alccolique. Je l’ aime plus que tout et je suis consciente de sa maladie. J’ ai essayé de l ’aider, le soutenir comme je pouvais, être la pour lui. Mais ces 4 dernieres semaines la vie était devenue pénible pour nous trois. IL s ’est mis a boire H24, ne dormait plus, s’en prenais a moi mëme et á son fils. Une vraie descente aux enfer. Il partait la nuit en scooter très alcoolisė se chercher encore et toujours de l’alcool, cela n ’en finissait pas. Nous ne dormions plus la nuit car nous étions très inquiet pour lui mais aussi très angoissé. Il rentrait et parfois s’en prenais á nous. Une fois il était tellement agressif que son fils à du l’immobilisé et nous avons tel à la police. Ils ont du le mennoter, tazer car tres agressif. Nous avions demandé qu’ il soit vu par un psychiatre. 4h après, il etait rentre.

Son alcoolisation s’empirais de jour en jour, avec une consommation énorme qui ne s’arrêtais jamais. Les disputes s’enchainaient car il devenait parano, voyais du complot partout. La communication etait devenu impossible car il ne voyais en moi et à son fils que du négatif, alors que nous fesions tout pour lui. Nous ne lui voulions pas de mal.

Un soir il est rentre, allant se coucher par terre dans le bureau avec ses bouteilles et ses bieres pret de lui. Cela m ’ a fait mal au coeur, j’ai essaye de lui dire d’aller dans la chambre, il ne voulait pas.
J’ ai tel à une amie confidente pour lui faire part de mon inquietude. Il est venu dans le salon et me voyant au telephone, il a commence à me dire que je complotais dans son dos et il a commencé à me gifler violement et les gifles se st enchainés. Je suis partie de la maison chez une amie. Son fils a suivi car il s’en es pris à lui. Ce soir la il nous a menacé de mort, il voulait nous frapper et nous tuer.

On ne pouvais pas continuer ainsi, son fils et son frère m’ ont dit de porter plainte car la situation allait trop loin. Je l’ai fait. Meme si je suis consciente qu’ on nepouvait pas faire autrement, je m’en veux. Il est å comparution immediate car cette nuit la, il a détruit un vehicule en plus.

Il s’est enlisé dans l’alcool, je n est pas cesser de tel å son medecin, infirmiére, pour trouver un appuie, de l’aide mais ils ne m’ont pas rappelé. D’autre mon dit que c’est à lui de demander de l’aide. Perso je trouve cela un peu leger. Comment une personne qui n ’est plus elle meme depuis des semaines, avec une alcoolisation H24, peu telle demander de l’aide elle meme ?? Ce n’est pas possible.

Donc voila. Le jour de l’interpellation il avait une bouteille de 2l de wyskie et plus de 6 canettes de 50cl de bière forte. Je me dit que nous avons sans doute éviter le pire. Il se met en danger et met en danger autrui, il fallait que cela cesse.

Lors de ma plainte, je demande que des soins, je ne veux rien d’autre que des soins adaptés pour lui et qu’il soit protégé. Je l’aime et j’espère qu’un jour il pourra me pardonner et comprendre que nous avions pas trop le choix.

Voila je souhaite à personne de vivre cela.