Olivier 54150 - 08/09/2020 à 21h25

Louise
Un jour sur trois, sur deux....
Si tu as un vrai problème de dépendance ça va être l'escalade j'en ai bien peur.
N'attends pas car ça va être de plus en plus compliqué.
Quand tu es en manque d'alcool, ne bois pas même si celà te rend malheureuses. On a le droit d'être malheureux.
Et puisque le poison n'arrange rien autant ce passé de ce lent suicide.
Revois un médecin qui peut te donner qqc en cas de grosse envie, mais ne bois plus, cette cure ta montré qu'on pouvait vivre sans.
Plus tu attends avant de réagir plus ce sera dur et tu le sais bien.
Amicalement. Olivier.

Profil supprimé - 09/09/2020 à 12h52

Bonjour Olivier,
Merci pour ta réponse. Je sais que ça peut vite redevenir l’enfer.
Je vois un médecin qui me donne du valium mais je vois quand même c’est pire.
Je vais peut être refaire une cure.
Amicalement

AnnetteFromMars - 10/09/2020 à 13h08

Louise,

Courage

Vous êtes sur la bonne voie et félicitations pour votre nouveau boulot !

Au lieu de vous prescrire du valium pourquoi ne demandez vous pas du Baclofène à votre toubib ? ou changer de toubib pour un spécialiste / un psychiatre spécialisé addictions .

Votre cure prouve que vous êtes en train de transformer votre vision sur ce poison qui est l 'Ethanol.
Le valium certes, mais il vous fat un psy pour régler ce que l'alcool était censé régler ..

Louise je vous fais de gros bisous .
Cherchez sur internet un psy spécialiste pas loin de chez vous
et donnez de vos nouvelles
Bien à vous
Annette

patricem - 11/09/2020 à 10h32

Bonjour,

Effectivement, il vous faut voir un spécialiste. Le valium n'est pertinent que pendant le sevrage physique. Il aide à supporter les effets de l'arrêt et c'est déjà pas mal.

Pris trop régulièrement, vous pouvez développer une autre addiction.

Bon courage,

Patrice

pat54910 - 20/09/2020 à 22h12

Bonjour Louise et au autres qui ont répondu avec gentillesse.

Pour répondre à ta question : C’est compliqué de se sortir de ce poison
Ma réponse est OUI c est compliqué bien sur facile de lever le coude mais difficile de le descendre. Apres rien n ai infranchissable dans la vie sache le.
Alors la première démarche c est d avoir su que tu avais un problème avec l alcool et sa c est compliqué pour la plupart des gens.
De deux tu a fais les démarches pour allez te faire sevrer et je t en félicite mais tu dois te faire aider par une association, médecin etc... car des doutes y en a y en auras et y en auras toujours alors le soutiens de la famille est bien mais celle de personne a l ecoute c est mieux.
Tu va y arriver avec l envie la volonté et le courage.
Moi j y croyais plus et au moi d octobre sa feras ma 4ème année sans avoir toucher une goutte d alcool ni même les dérivés sans alcool panaché pastis sans alcool et j en passe car c est de l attrape Nigo pour que ton cerveau crois que c est de l alcool alors fais toi aider tu a déjà taper a la bonne porte continue dans la voie que tu es après mini rechute pas un drame le principal c est de s en rendre compte et de remonter la pente alors prend soi de toi et tu verras que la vie est plus joyeuse est belle sans alcool.
En espérant te relire pour savoir ou tu en ai courage.

Profil supprimé - 21/09/2020 à 12h31

Bonjour à tous ceux qui ont répondu à ce fil,
Je vois bel et bien un médecin addictologue.
J’ai vite reperdu mon emploi que j’avais retrouvé trop vite.
Oui je plonge en plus dans la dépendance au valium et autre immovan.
J’ai à nouveau rdv chez mon médecin addicto cette semaine, il m’a déjà proposé semaine dernière de retourner en cure à moi de prendre une décision.
Mais je vois que je replonge et en plus alcool et médicaments c’est dur dangereux. Je redeviens sale, négligée. Je n’arrive plus à faire grand chose, mon esprit, mon moral sont perturbés.
J’avais je n’aurais dû reboire ce verre après 1 mois et demi d’abstinence.

chrys1967 - 21/09/2020 à 17h27

bonjour, j'ai moi même fait une cure d'une semaine seulement mais j'ai eu un déclic et j'ai complètement arrêté de boire pendant 51 jours ! j'ai refusé le valium et j'ai eu la chance de bien supporter le sevrage. J'ai replongé il y quelques jours et je m'en veut terriblement. J'ai quand même de la chance d'avoir ma famille qui m'entoure, ils ne se sont pas rendu compte que j'avais recommencé et je ne sais pas si je dois leur dire, j'ai tellement peur de les décevoir. as-tu de la famille des amis à qui tu peux parler, cela aide énormément. Ne perds pas courage ! on va y arriver !!