Québécoise - 20/08/2018 à 16h53

Ca fait du bien de vous lire , je comprend
Plus à quel
Point l'alcool à une forte emprise . Pour qqun qui a de fortes envies ; le premier verre est de trop , prc qu'après il n'y a plus assez. Mon amoureux bois énormément et en vous lisant , je comprend mieux , merci bcp .

Profil supprimé - 21/08/2018 à 14h14

Salut keldo
Histoire de trouver un petit plus de motivation... Le sport est une très bonne chose.. Ça fait des années que je fais mon footing deux fois par semaine... C est comme qui dirait une drogue, mais comme celle qui nous a mené à nous interroger aujourd'hui sur notre alcoolisme... A une époque ça me permettait de déculpabiliser, et je buvais à chaque fois après... Ou bien après une bonne grosse fête, le lendemain footing et j avais moins honte de ce que je pouvais être... Mais depuis quelques mois c était devenu une forme de non sens... Faire du sport et s aitodetruire... Ça ne veut rien dire... Essayer de prendre soin de soi tout en se détruisant...
je cours toujours mais aujourd'hui j espère que j'ai compris que prendre soin de soi est un tout... Dont l alcool n a pas sa place..
alors vas y n hésite pas va te dépenser ça soulage l esprit et le corps... Si on arrive à ne pas oublier ces objectifs...
Alors avec tes premières économies une bonne paire de running c'est un cadeau sympa... Bon retour de vacances...
bon courage à tous

Profil supprimé - 21/08/2018 à 15h46

Moi au contraire, si je suis dans une période où je bois et fume alors je ne fais plus attention à grand chose : pas de sport, alimentation un peu à l'arrache… Du coup ce sont des moments où rien ne va, où il n'y a rien pour rattraper la sale image que j'ai de moi, et aucune source de plaisir à part la défonce pour oublier.
Par contre, quand je commence à faire du sport c'est que j'ai arrêté de boire, que je fais gaffe à ce que je mange (parfois un peu trop) et que je lève le pied sur l'alcool. Il n'y a pas vraiment de juste milieu et c'est peut-être ça le problème. Je m'en demande beaucoup et après, crac c'est la chute au premier relâchage. Le sport c'est justement pour essayer de développer une autre forme d'addiction. Celle au bien-être ressenti juste après une séance de course ou de natation. Je vais peut-être me réinscrire en club (boxe française), histoire d'être engagée auprès de partenaires, pour me contraindre à y aller et voir des gens qui ont un rapport plus sain à la vie. Ca me changera de mes connaissances et proches que je retrouve généralement….au bar. Mais je ne sais pas si je tiendrai..
Bon courage aussi

Profil supprimé - 21/08/2018 à 16h16

moi c est Marie
je bois tous les jour de l alcool fort en grande quantite et seule
je réussi plus ou moins a faire face au quotidien mais cela devient de plus en plus dur

Profil supprimé - 21/08/2018 à 16h57

Bonjour Marie,
Ca fait longtemps que tu consommes quotidiennement? Tu as déjà rencontré un professionnel pour en parler? Tu as un travail ?

Profil supprimé - 21/08/2018 à 18h56

Bonjour à tous,

Je suis inscrite sur le site depuis hier et en lisant les témoignages je me reconnais.....Je me sens moins seule .....

Merci....

Profil supprimé - 22/08/2018 à 21h06

c est Marie
ca fait de tres nombreuses années que je consomme plus ou moins .j ai eseaye de me faire aider mais je n ai pas persévérer.

Profil supprimé - 24/08/2018 à 10h04

Qui a déjà testé des médicaments ?
Quand on n'a pas persévéré une fois, on peut toujours retenter... Plus on essaie d'arrêter et plus on a de chances d'y arriver. Ça peut paraître paradoxal parce qu'après un échec on a tendance à ne plus y croire... et pourtant je suis sûre qu'il faut d'abord échouer pour y arriver..
Bon courage. Rien depuis le 16 août pour moi...

Profil supprimé - 26/08/2018 à 18h17

Bonjour à tous,
arrêter tout seul est très difficile voire dangereux, il vaut mieux connaître son adversaire. Il existe des moocs ou des vidéos très bien faites par des spécialistes qui donnent les bases de compréhension du phénomène addictif.
Cela permet de mieux comprendre ce qui nous arrive.
Il faut ensuite travailler sa motivation, sa balance décisionnelle, le pour et le contre puis élaborer des stratégies pour faire face aux situations à risques, améliorer sa confiance en soi et faire le deuil du produit.
Il y a des aides médicamenteuses à court terme pour certains stades du process mais pas de solution médicamenteuse au long court, la guérison est d'ordre cognitif.
Je vous souhaite de trouver un bon thérapeute ou de le devenir...
Amicalement