Profil supprimé - 19/02/2016 à 12h33

Il n'y a pas de remede miracle grandluce! sinon ont ne serait pas la? Je pense que chacuns trouve son échapatoire comme il peut, la volonté étant le 1er critere. A tu vu un medecin ou autre? a tu des gens de confiance a qui parler? Je lis beaucoup de temoignages ou je me retrouve et ça fait du bien d'en parler. Fait tout pour garder le moral
bon courage

Profil supprimé - 20/02/2016 à 16h27

Bonjour Grandluce

Il y a quelques années, je buvais du vin le soir en enchaînant les verres. Même si je voulais maîtriser ma consommation, je n'arrivais pas à m'arrêter quand je le désirais car l'appel était irrésistible. Mon plaisir à moi était le vin rouge, j'en étais raide dingue! Mais, à force, je ne le digérais plus.

Un jour, j'ai écouté intimement mon désir et j'ai pu analysé que ce qui me plaisait dans le vin, c'était le goût du fruit et que finalement, ne supportant plus l'effet de l'alcool, cela me repoussait plus qu'autre chose. J'en ai déduis que je devrais consommer du jus ou des fruits pour combler cette soif. Et là, j'ai bu des jus de raisin et aussi de pomme ou de poire sans retenue. Si j'avais envie d'alcool, hop du jus de fruit (pur et sans ajout de sucre, c'est important)! Depuis, je ne consomme plus du tout d'alcool tout en me faisant plaisir.

Peut-être que mon expérience peut t'apporter une lumière, voire quelques soulagements quant au problème auquel tu es confronté, en tout cas, je l'espère.

Profil supprimé - 23/02/2016 à 14h30

Va dans un CSAPA Grandluce ! Moi je me suis fait larguer y'a trois mois et ça a été très dur. Mais même si je suis loin d'avoir arrêté de boire totalement,je sens déjà que j'ai pas mal évolué...
Ca fait du bien des fois de vider son sac devant un pro qui te jugera pas. Moi ça m'a aidé. J'ai quasiment divisé ma consommation par deux et je ne bois plus d'alcool fort depuis le début 2016.

Bonne chance.

Et comme dit sobre pour bien,lire les fils te permettra de retrouver dans les témoignages des autres.On a tous beaucoup plus de point communs qu'on ne le croit.