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La honte je suis ALCOOLIQUE

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Bonjour, ami de boisson et spectateur de se triste spectacle ! Désolé pour les fautes une mauvaise rencontre ma empêché de faire littérature.

J'ai 27 ans, tout a commencé du a ma maturité avancé du fait que ma soeur agé de 4 ans de plus que moi ai eu une adolescence difficile , en quelque sorte j'ai vecu en meme temps qu'elle mon adolescence. Bref je ne dit pas que ma soeur est responsable de mon ancien mariage avec l'alcool. A 15 ans je trainé avec des gens agé de 20 ans et m'été trés bien integré dans un groupe qui été trés bien sous tout rapport. J'été impliqué dans une association de quartier, et sortion dans un club trés esprit famillialle ou beaucoup de gens retrouvé l'ambiance familliale sans bagarre, bref un endroit ou moi je me s'entait trés a l'aise. Je comsommé (6 bières par semaine étallé sur trois quatre jour) sans cherché de defonce, je retrouvé plus d'assurance, malgré que à jeun j'étais très bien dans mes pompes, et meme autin, bref une comsommation bien plus basse que d'autre de mes camarades de l'époque. J'été admiratif devant ce milieu de la nuit qui me fesait révé et envié le personnel de la boite de nuit, j'été de sorti le vendredi et samedi, commence a me faire apprécié des dirigeants de la discothèque, et me retrouve derriere les platines a l'age de 16 ans.

Début de mon apogée, j'avais tout pour etre heureux, une passion, les etudes tourné car je recolté le fruit de mes deux redoublements, les filles n'étant pas un manequin, mais les gens resenté que j'été hyper bien dans mes pompes. Sexuellement je changé tout les week end de compagne, a mes 18 ans j'ai subi un premier petit choc amoureux avec une étudiante en médecine agé de 25 ans, ma consommation avait changé mais avec le recul je n'été pas dépendant, je sortais du jeudi au samedi et consommais 18 verres de whisky coca en dose de bar sur 3 jours. Consommation bien trop importante pour les jeunes lecteurs, mais vraiment rien d’alarmant, sur de moi je sort de la morosité de mon chagrin d'amour très rapidement en écumant les relations, 1 an après cette rupture je rencontre une fille de 3 ans ma cadette, et tout va trés vite car je me senté bien avec elle et aprécié passé du temps avec, emménagement j'ai 19 et passe mon bac cette année la, je sorté avec elle ou pas. L'avantage d'avoir rencontré cette fille c'est que je suis passé de chez mes parents a une indepandance total dans son apartement. L'occasion du fait de son absence pour ces etudes du mercerdi au samedi des apéritif pas du tout dinatoire, mais liquidatoire avec les copains. Je crée des projets associatif et m'epagnoui auprés des gens impose ma presence, mais passe pas mal de mon temps a l'aperitif, je ne reproche rien a mes amis qui ne voyez rien je changé tout les soir les invitations d'ami, jusqu'au jour ou mon ami 2 ans aprés le debut de notre relation, commence a me dire qu'elle souhaite se posé et commence a me faire des réfléction sur mes sorties, j'avais besoin de ces sorties qui été un équilibre dans ma vie, j'avais decroché un contrat en alternance en bts vente dans un gros groupe et mené une vie de bohème, je m'épanouissé dans mon travail avait rencontré de nouveau ami et travaillon tard le soir au demarchage de client tout en buvant un apéritif avec modération, je rentré chez ma compagne ne disant pas que nous buvion au travail et pretesqué ma journé fatiguante pour boire deux a trois wisky coca devant elle mais elle ne m'acompagné pas, quelle moment de détente, et ne me le fesait pas remarqué pour ne pas crée de conflit, oppression devenais pesante. Elle me reproché de passé trop de temps avec mes amis mais ne remettait jamais en cause ma consommation d'alcool, pourtant sans le savoir j'été dans la tourmente.

Figeons la situation, j'été pas trop mal avec ma copine, avais un tas d'ami, et gagné plus cher que mes prof en bts étant un des meilleurs vendeur France dans mon travail. Je n'avais aucune remise en question a avoir de ma part, et partais du principe que c'été elle qui avais un problème. Je la quitte du jour au lendemain après 3 ans de vie commune et coupe toute communication avec elle. Si c'est pas elle ça sera une autre, j’emménage en collocation avec mon meilleur pour 6 mois, et de notre propre reflection nous décidont d'y mettre un terme car nous profitions de toutes les bonnes choses sans restriction, la fete, l'alcool et les filles tout les soirs. Je prend mon appartement et monte au grade de directeur de département au sein de mon travail, je sort avec mes collègues de travail et tout les jour est pretesque a boire l'aprétif avec tout les jours un peu moins de retenue. Plus je mettais mes salarié en confiance avec ces apéritifs et plus le chiffre monté en flèche. Ou sont mes problèmes, je n'en avais pas pour moi a l'époque.

La suite changement de mon superieur hiérarchique , en conflit permanent avec le nouveau, le déclin du commercial et une très grosse fatigue physique et psychologique. Je décide a 23 ans de prendre un peu de temps pour moi et va voir mon medecin qui me met aussitot en arret, fait des analyses de maniere a faire une bilan complet de santé que je n'avais pas fait depuis mes 18 ans. Le couperais tombe j'ai un probleme avec l'alcool, de quoi il me parle, il sort le mot Alcoolique (pour moi alcoolique = clochard), de quoi il me parle il fou ce medecin. Il me donne un traitement, et continu mon "repos" sans prendre mes medicaments car pas malade, un jour mes parents arrive a l'improviste j'été un peu bourré, et me sorte des morales sur l'alcool et bla et bla ... Ils me gavent a chaque visite de leur part, je n'allais plus les voir car il me contrarriaient. Jusqu'au jour ou pour leur faire plaisir et lors d'un renouvellemnt d'arret de maladie, je lui dit sans conviction que je n'arrive pas avec son traitement et pour montré a mes parents que je n'ais pas un Picolo, qu'elle est la prochaine etape, il me dit le sevrage hospitalier, Je vous passe cette periode ou l'esperiance medicale pour moi a été très mauvaise pour moi qui avais 24 ans et me retrouve pour le coup avec des personnes sous obligation de soin qui non absolument pas envie de se sortir de l'alcool, et me reconnais absolument pas dans leurs discours, bref je reflechie un peu et reduit ma consommation pendant 1 an, mais n'etant pas convaincu de ma maladie, je me fait deboché dans un nouveau travail gagne 8000€ par mois, mais n'a toujours pas de copine depuis 2 ans, la pression de la direction devient constante et je retrouve a géré une region, recrutement, et développement CA dans un contexte de redressement judiciaire, et la c'est du suicide, je me retrouve dans une ville a 300km de chez moi sans connaitre personne aucune personne autour de toi objective pour te faire des remarques, je ne vais plus que une heure par jour au travail, trouve mille escuses pour la baise de mon chiffre d'affaire, et bois 1l a 2l de wisky coca par jour, le cirque dur un an, avant que mes parent que je ne voyais plus que rarement du fait de la distance et du fait de la peur de la confrontation face a une réalité FLAGRANTE, me m'éte la realiré devant les yeux et elle été evidente, j'ai pris 50 kg en 3 ans, bois 2 l de wisky par jour du levé jusqu'a etre caho, et n'a plus gout a la vie, constat je donné une entierre confiance a ma femme qui été l'alcool, 6 mois aprés ce coup pied au cul, je racroche mon travail sur un coup de tete ou les relations été devenu cahotique, je passais pour un gros poivro auprés de mes salariés, mais ne me rendé pas compte que je n'était plus credible.

Je raccroche tout en étant sur est certain, je suis alcoolique mais je ne l'assume pas, quel honte, ou ça a merdé, a quel moment j'ai basculé du coté festif, a l'utilisation de l'alcool comme un médicament, seul probleme je ne voyais comme aide que le centre de sevrage ou je savais que j'avais besoin de plus, j'avais entièrement pris conscience de ma maladie, je comsommé pour supprimé tout les effets secondaire, tremblement, sueur, j'avais totalement perdu confiance en mois; je ne me regardé plus dans la glace est sorté de chez moi que pour allé cherché mon produit, jusu'au jour ou ma soeur aprés 3 mois d'arret à picoler, me présente un centre comme quoi il pourrais me correspondre, je lui confie la responsabilité de géré une date de rendez vous, et d'organisé le transport, etant un peu bourré surtout pour allé a ce genre de rendez qui te fais stressé, La je rencontre une equipe qui me dit que du moment ou je suis conscient de ma maldie et en parle librement avec eux, que si je leur fait confiance et ne remet en aucun doute leurs competence en jeux, il peuvent m'apprendre a me soigné, je ne coyais pas du tout en ces personnes qui crois tout savoir sur ton problème personnel, au stade ou j'en été, je ne pouvais pas tombé plus bas, j'ai tenté, et me suis motivé a comfirmé ma motivation tout les mercredi matin pendant 6 semaines d'ivresse, toute les semaines j'été encouragé par ma famille, ba oui j'avais la demarche je pouvais bien fété ca tout seul. J'aprend la date de mon hospitalisation, tu part dans l'optique que ta femme ou tu ferais tout pour elle qui ta accompagné dans les moments de joie et les moments noir, qui avais toujours une reponse a tout tes problemes et savais te félicité depuis 5 ans, ont te donne une date ou tu vas la quitté, mais comme je ne croyai pas en cette solution et mon amour etant plus que fort pour elle je lui promet que l'on se retrouve dans 3 semaines.

J'arrive dans le centre de cure, avec encore un peu de mon amour en moi, et oui les adieux ont été très dur dans la nuit. Et me laisse bercé par ces personnes compétente qui vous pour la plupart leur heure personnel il donne des mots sur toutes douleur, a toujour a en apprendre sur ce monde, ou l'on croit que l'on est le seul a le connaitre, et tu te rend compte qu'il y a plein de gens de tout horizon, de la cuisiniere, au directeur commercial, au final ont est tous dans la même bassine, je passe les explication qui ont été trés dur pour moi physiquement et psychologiquement les premiers jours, car j'invite les personnes que cela intrigue a franchir le pas de la porte, si vous ne vous mentez pas a vous meme c'est que vous etes pret, pas de honte a avoir, ce sont des professionnels, si tu as besoin de boire un petit verre pour te rassuré fais le ils ont l'habitude, par contre si tu arrive complètement bourré est bien reste chez toi tu n'est pas pret. Ne vous faites pas avoir comme moi ne vous croyais pas tout puissant car tout vous souri, et sans vous le dire et sans le voir, vous avez un nouvelle ami qui immisce dans votre vie, et qui prend une telle emprisse que vous coupé les ponts avec des gens que vous connaissé bien avant ce nouvelle ami, il important meme si l'ont se croit invincible et bien dans ses pompes, de prendre du temps sur soit et de faire des constats, pour gardé une veille, ne relaché jamais la garde, dans les bons comme les mauvais moment.

Chaque personne est différente face a l'alcool, j'ai rechuté au bout de 6 mois me coyant fort et me disant que je pourrais ravoir une consommation modéré, j'ai reagit le lendemain de ma 1er reprise, car j'avais retrouvé tout mes tremblements sueur. L'erreur est humaine le principal est de l'assumé, je suis allergique a cette saloperie de produit, qui est en vente libre, qui a une image d’être cool, est dont ont cache les chiffres a cause du lobbying, est ou stigmatise des gens comme nous, ou j'été le premier a le faire. J'ai reussi a me separé de cette putain de mauvaise fréquentation, en apprenant par coeur a la connaitre, pour connaitre ses defauts que je n'avais pas vu, je me suis laissé guidé par des equipes compétente, ont me forcé a répondre a des questions sans sens, ont m'a obligé a choisir une boisson que je boirais maintenant, de maniere a ne pas reflechir a une question ou pendant 5 ans tu repondait ces deux mots que j'ai sorti d'inombrable fois : Whisky Coca, ont te prepare, laissez vous guidez, j'ai souhaité me confronté a la sortie de ma 2ieme cure au séquence les plus violente de l'alcool, c'est a dire toute la merde que font les gens sous produits, ce que je ne conseille pas car c'est trés violent de voir en boite de nuit à jeun ce que tu fesais encore 6 mois en arriere, mais j'avais besoin de savoir si je rebasculerais ou si j'été prêt, ma pensé de base et 1 ou 0, la semaine aprés ma sortie, j'ai ecumé les boites de nuits, les bars que je frequenté ou aprés avoir consommé pendant deux ans du wisky coca, tu disparais pendant trois semaines et réaparrais en demandant un perrier menthe. Imagine la tete du gars qui est ton copain du fait d'etre un vecteur important de son chiffre d'affaire, J'ai tenu, je ne dit pas que quelque fois je ne pensais pas a elle, depuis 1ans1/2 je suis entièrement abstinent, ma première carapace est de pensé au moment difficile a l'hopital, mon second joker et d'ouvrir une envellope que je n'ais encore jamais ouverte, ou j'ai mis tous mon dossier medicale avec des photos de l'ancien moi, la troisieme chose est de prendre contact avec le centre, et surtout je connais la marche a suivre en cas de rechute, si un jour elle est plus forte que moi, je prend rdv au centre est me laisse guidé.

Le plus dure reste a venir, il faut tout recrée, les nouveaux amis, les anciens t'ayant abonné, les derniers étant des copains de bouteille. Tu te retrouve juste avant ta maladie, 5 ans en arrière, tu doit te reforgé une personnalité, car oublié ton ancienne, au bout d'un an je commence a reprendre confiance en moi, j'ai de l'alcool chez moi, les bouteilles reste beaucoup plus longtemps pleine, et seulement des amis les vides, je sens que je me sens bien j'ai crée une entreprise, qui marche, bref je suis encore un malade alcoolique et je le resterais toujours a vie, a partir de la je sais que mon avenir ne tien qu'a un verre, c'est doublement dur quand tu n'a pas d'accroche proche, femme, enfant. J'ai perdu 5 ans de ma vie, cela peut être long, trés long a reconstruire, mais j'espere être assez patient pour revenir bien dans mes pompes, seulement je prend quelque petit moment pour reflechir a cela. Prenez 5 minutes ne bousiller pas tout, c'est du suicide a petit feu, et c'est que l'on est des égoïste car ont emmène des gens qui nous aimes avec nous, il n'est jamais trop tard, j'ai eu la chance de me qualifier de malade jeune, pour certain il y aura des événements irréversible, mais il faut être fort, très fort, et le temps payera, contacté une personne de confiance et dite lui qu'elle prenne les devant pour vous, ne dites pas qu'il ne vous comprenne pas, mon père comprend tous juste ma maladie c'est un homme hyper borné qui croyait que la solution c'été d’arrêter de faire la fête, expliqué vous, si il vous écoute c'est qu'il tienne a vous, vous êtes trop faible et surtout malade, faites vous aider, la route est très longue, je ne souhaite pas cette mauvaise rencontre a mon pire ennemi, courage.

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