Nic - 07/05/2020 à 11h32

Bonjour malheureusement c est personne dépendant de l alcool veule rien entendre aucun soucis tout va bien pour eux .Je vous conseil de laisser tomber moi il y a 3 semaines ont c est quitter au bout de 18 ans de concubinage c à était très dure pour moi de prendre cette decision il a vraiment était trop loin l alcool les insultes et pour la dernière fois il l a lever la main sur moi stop j ai 57 ans j ai 2 filles et5 p'tits enfants ,avec lui pas d enfant il à 45 ans et pourtant ont s aiment très dure à oublier maintenant ont s appel. C est mieux comme ça. Boire un petit peu mais tout les jours sinon voir votre médecin et lui parler .bon courage

an69 - 07/05/2020 à 11h51

Bonjour Mely
Ayant vécu une situation de violences verbales et physiques dans mon couple tant de ma part que de la part de mon conjoint alcoolisé je ne peux que vous suggérer de vous mettre à l’abri. D’après ce que vous écrivez votre conjoint est dans le déni de son état. Dans ces conditions il ne peut pas demander de l’aide pour se soigner. Si vous même êtes dans une spirale de consommation il est plus urgent de vous occuper de votre propre problème. Mon mari étant dans le déni j’ai essayé l’hospitalisation à la demande d’un tiers, les mains courantes et même porté plainte. Mon mari a fait des séjours en cellule de dégrisement. Rien n’a abouti. Nous étions tous les deux en danger dans ce contexte. C’est lorsque j’ai décidé de demander de l’aide pour moi que j’ai pu quitter cette spirale infernale.et prendre la décision de le quitter et demander le divorce. J’ai tenu bon grâce à la psychologue du CSAPA et à l’association Al Anon. Finalement chacun de nous s’est pris en charge et nous avons pu retrouver une vie de couple apaisée. Cela a pris du temps mais nous avions un accord : lorsqu’il s’alcoolisait Je quittais la maison ou lui allait s’alcooliser ailleurs car cela pouvait durer plusieurs jours. Heureusement il y avait des périodes de rémission. J’espère que mon témoignage vous sera utile. J’ajouterai que c’est inutile d’allonger la liste des victimes de violence conjugale; les hôpitaux et les prisons sont suffisamment pleins. Bon courage à vous.