Profil supprimé - 24/01/2017 à 10h44

Bonjour,

As-tu arrêté le valium de façon progressive de manière à éviter l'effet rebond ?

Perso j'ai pris des AD, sur conseil de mon médecin, il y a quelques années. Je voulais absolument que ce soit limité. Il m'a de suite mis en garde contre l'arrêt brutal. J'ai mis plusieurs semaines à arrêter une dose pourtant très faible et ce en fractionnant un max.

J'ai fait la même chose avec du Xanax, en fait son générique : alprazolam que mon médecin m'avait prescrit pour me détendre. Sortie en douceur mais je dois reconnaître que cette sal*perie était bien plus tenace. Depuis je n'y touche plus.

Donc un conseil, fractionner au max pour en sortir même si ça prend des semaines.

Profil supprimé - 24/01/2017 à 12h51

moi je n ai pas de traitement ,juste un peu de seresta prescris par mon généraliste
j ai un rdv lundi en addictologie
je veux un traitement pour m aider
j ai eu par un moment du lexomil ,j en prenais beaucoup et peu à peu j ai tout arrété gràce au boulot
tu es de quelle région?
merci

Profil supprimé - 24/01/2017 à 16h28

Bonjour merci pour vos réponses
Je suis en Normandie mais je travail à Paris
Ma dépendance au benzo viens de survenir car lors de mes période d'abstinence j'ai toujours eu recours à cette molécule là j'ai pris la décision de stopper non seulement l'alcool mais aussi le traitement médicamenteux cela fait 5 semaine que je le baisse progressivement et 10 jours que j'ai tout arrêter je souffre énormément physiquement et surtout psychologiquement je n'aurais jamais imaginé les difficultés que cela découle

Profil supprimé - 24/01/2017 à 20h08

Je peux comprendre ton mal-être car je l'ai traversé avec l'arrêt du Xanax (Dieu sait que je n'ai pas dépassé les 15 jours de prise pourtant). C'est une vraie crasse. Le problème est que si tu ne stoppes pas il y a accoutumance et comme pour l'alcool augmentation de la dose pour obtenir le même effet. La sortie n'en sera que plus longue et pénible.

Profil supprimé - 25/01/2017 à 14h15

Bonjour bientôt 15 jours d' arrêt des traitements médicamenteux la souffrance physique et psychique persiste cela me semble plus difficile que l'arrêt de l'alcool car aucun traitement de substitution le combat vers l'abstinence me semble plus que jamais difficile

Profil supprimé - 31/01/2017 à 14h49

Salut Ludo,
tu peux demander de l'Atarax à ton médecin ce qui pourra t'aider un peu mais le but est de ne pas prendre systématiquement une substance pour en remplacer une autre, tu l'as bien compris. La relaxation peut être recommandée ainsi qu'une perspective d'avenir structurée qui aura un impact psychosomatique important.
Amicalement