Profil supprimé - 08/11/2017 à 11h27

Bonjour à vous deux :

"Ce qui m’aide le plus à rester sobre, c’est le souvenir de cette souffrance. Vraiment pas envie de revivre ça. (j’ai appris à marcher, je ne vais pas me remettre à ramper)."

Combien de fois n'ai-je pensé à cela. Surtout ne pas zéroter le compteur de l'abstinence !

"Comme m’a dit mon alcoologue à l’époque, et c’est triste à dire, mais je crois qu’un sevrage trop facile implique une fragilité face à la rechute."

Ca aussi j'y ai déjà pensé fréquemment. Même si je n'étais pas alcoolisé du matin au soir mais plutôt du soir au matin et que je gardais plus ou moins le contrôle de mes actes je me suis sevré il y a 14 mois. Mais cela m'est apparu moins ardu que ce que je craignais peut-être par la mise en place d'un bon mécanisme, je n'en sais rien... Reste que je suis convaincu du bien fondé de cette phrase. C'était peut-être trop facile... Mais pour rien au monde je n'envisage reprendre la première goutte. rancunier de nature, je le suis aussi désormais vis-à-vis de l'alcool !

Moderateur - 08/11/2017 à 18h04

@Flo66 : désolé votre message avait bien été publié hier mais notre intervention pour anonymiser l'école l'avait masqué et nous avons oublié de le "dé-masquer". C'est la raison pour laquelle il n'apparaissait pas. Entre-temps IteMissaEst a laissé un message.

Profil supprimé - 09/11/2017 à 13h56

Merci