Profil supprimé - 17/11/2018 à 13h09

Bonjour, mon mari est lui aussi alcoolique. Nous avons déménagé et changé de région, malheureusement il boit toujours malgré des cures.
Bon courage à toi

Profil supprimé - 19/11/2018 à 20h48

Bj ce jeudi j ai du mettre de force le père de mes enfants hors la maison suite à un état alcoolique violent. Pour faire court il a est plus jeune que moi nous avons vécu 9 ans sans problème, plus tôt problème visible car un jour il m annonce que rencontré une fille de son âge. à partir de la il se met dans l alcool démission devient violent la totale , j ai supporte par amour je l ai repris en excusant sa violence physique et verbale puis un jour hosto et une plainte de ma part il a du suivre des soins durant 2 ans ce qu' il a fait . Tt redevient comme avant des que suivi finit rebelote une journée il a bu semaine suivante une autre et la violence revenu.
La il est à la rue et moi perdu

Profil supprimé - 20/11/2018 à 19h47

Bonsoir Lurama,
je comprends votre détresse mais ne perdez pas espoir.
Je connais ces situations. Tout va au mieux durant les phases d'abstinence consécutives aux sevrages effectuées à la maison (deux semaines maximum) ou lors des séjours hospitaliers (pour y effectuer cures et post-cures) mais tout s'écroule une fois ces derniers terminés.
ils sont dus au fait que votre compagnon n'éprouve pas encore la sécurité intérieure nécessaire pour tenir bon au moment où surviennent les cravings.
Lorsqu'il était alcoolique, il buvait lorsqu'il en avait envie ; aussi lors des moments où même abstinent et sevré, il est sujet à des cravings, il se comporte toujours de la même façon que lorsqu'il était dépendant : c'est donc qu'il n'est pas sevré "psychologiquement".
Il lui faut comprendre qu'il peut endurer ces cravings même s'ils sont extrêmement pénibles : ils vont disparaître à un moment donné et devenir moins fréquents avec le temps.
La thérapie et des rendez-vous réguliers en Csapa sont nécessaires pour qu'il puisse développer les moyens de pérenniser son abstinence.
Je vous invite à en parler calmement avec lui en insistant sur le fait que vous souffrez de la violence qu'occasionne ses alcoolisations et en mettant en valeur les efforts qu'il a fournis par le passé, le soulagement et le bonheur que vous éprouviez grâce à lui.
il ne faut pas qu'il reste sans domicile : rendez vous au sein d'un csapa : il pourrait ainsi être pris en charge par une assistante sociale afin de bénéficier d'une nouvelle hospitalisation lui permettant d'être de nouveau abstinent et/ou de lui proposer de résider au sein d'un appartement-relai : https://www.federationaddiction.f...cois_Herve_appart_therapeutiques.pdf
Au regarde de votre situation, voilà qui pourrait vous satisfaire tous les deux.
Avec le temps, il pourra peut-être réintégrer votre domicile et pendre soin de vos enfants.
Il faut du temps pour cela.
En prenant ce temps, en communiquant avec sincérité, dans le calme et en étant soutenus par des personnes compétentes, il est possible de trouver des solutions.
http://www.drogues-info-service.f...specialisee-ambulatoire#.W_RWxuhKiUk
Courage.
Bien à vous.
Voici un lien vous permettant de trouver le Csapa le plus proche de votre domicile :

Profil supprimé - 28/11/2018 à 15h33

Bonjour Lurama, nous n'avons plus reçu de nouvelles depuis quelques jours.
J'espère que vous allez bien.