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Mon conjoint m'a quitté pendant son sevrage

Par Profil supprimé

Bonjour,
je vivais en couple nous étions très amoureux il a décidé de se sevrer donc sous esperal au bout de 3 semaine pas de libido il m'a quitté car il pense qu'il n'a plus désir pour moi mais il m'avait pourtant dit que ca mettrait du temps a revenir la il est toujours sous traitement. il est parti pour son ex avec qui ce n'était que sexuel veut-il se prouver quelque chose ? pourtant étant toujours sous médicamentation peut-il retrouver sa libido alors qu'avec moi rien ?

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3 réponses


Spirit - 03/10/2018 à 22h22

Bonjour laureen

Je ne peux pas me mettre dans la tête de ton mari mais je voulais juste te dire que je comprends que ce que tu vis doit être difficile et il faut que tu sois forte. Vas savoir ce qui lui passe par la tête mais te poser toutes ces questions ne changera rien à la situation. Avez vous des enfants ?
Je te dirai juste de trouver la force d avancer sans lui peu importe que ce soit une passage ou non et finalement j espère que s il s en rend compte ça sera trop tard et que tu auras tourné la page et pourquoi pas toi aussi rencontré quelqu un qui saura te rendre heureuse. Je te le souhaite .

Azalea - 08/10/2018 à 11h14

Je me suis résolue à ne plus être fâchée quand il boit.

C'est très dur mais j'ai compris que ce n'était pas « mes affaires », s'il veut boire il le fera et peu importe mon avis sur le moment, mon avis (positif ou négatif) ne « compte » pour lui que lorsqu'il me prévient qu'il va boire.

Quand il boit je ne suis pas non plus contente, mais quand il fait l'effort de se modéré et de se discipliné là je suis contente pour lui, l'encourage et le félicite en lui rappelant de garder la même conduite.

Il faut cessé d'être sur le dos de la personne alcoolique... Il/Elle voit ça comme des coups de pressions, ça l'étouffe et fatigue.

C'est ce que mon compagnon m'a dit maintes et maintes fois quand j'étais sur son dos.

Ce ne sont plus des enfants, on doit s'adapté à eux puisqu'on est avec pas pour rien, mais parce qu'on les aimes sincèrement et surement par "co dépendance".

Pour certains c'est de la grande folie, mais si on ne peut plus supporter la situation dire stop sans s'en vouloir/sans
culpabiliser, c'est déjà une sacré force mentale.

Si on est toujours avec malgré les moments durs, c'est qu'on use en quelque sorte les cartouches de l'espoir qu'il nous restes, jusqu'à un possible départ car on comprendra réellement "un jour" qu'on puisse rien faire, l'alcoolique est maitre de sa vie après tout et nous de la nôtre...

Profil supprimé - 10/10/2018 à 21h10

Tu as raison sur le fait qu'ils sont responsables de leur vie mais encore plus quand tu dis qu'on use peu à peu notre capital espoir...moi ça y est je suis arrivée au bout. Il a abîmé tout le vernis et je suis à vif, j'ai dit stop!!!! Après des années de périodes de n'importe quoi, de sevrage, d'abstinence, de rechutes et évidemment de mensonges, de leurres, de déceptions de craintes, angoisses je n'ai plus le courage ni même l'envie de continuer. Pourtant je l'aime toujours mais il est nocif pour ma santé mentale et même physique ! C'est mon fils qui a créé le déclic en me disant un jour tu sais "jeomprendrai que tu le quittes" depuis le chemin s'est fait ds ma tête et je je reviendrai pas en arrière. Quand il boit je ne le supporte pas et quand il ne boit pas il est taciturne à mourir...moi je suis ds la vie, il n'est pas question qu'il me pourrisse la vie plus longtemps...il ne faut pas s'oublier.

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