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Astuces pour mieux vivre avec la maladie d'alcoolisme

Par Québécoise

96 réponses


Profil supprimé - 16/01/2019 à 10h24

"On accorde le pouvoir aux autres, celui qu'on veut bien donner"
Merci infiniment pour cette phrase... Elle m'a déjà énormément apaisée à elle seule. Ne reste plus qu'à trouver ce qui pourra l'apaiser Lui...

Québécoise - 16/01/2019 à 15h57

"Derien" Jess, blunk

Il est malade , malade a cause de sa dependance et des effets de celle-ci . Il faut se recentrer sur soi , enormement , plus que normalement . Prc si non on suit la personne malade ds ses ecarts . Ses ecarts de gestions des emotions .

Dis moi avec qui tu te tiens , et je te dirai quel influence risque de te toucher .

Tant qu'on met toute notre energie sur (lui) on en met pas sur soi, ni pour se construire ou reconstruire . C'est lui qu'on suit , et lui , il est malade . Alors il faut prendre sont courage a 8 mains haha et entreprendre ses teucs pour soi , n'importe quoi , qui fait du bien , en de plus en plus , et plus souvent .
On lache pas ! blunk
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Profil supprimé - 19/01/2019 à 01h04

Très bonne idée de s entre aider dans ce merdier.

Personnellement, je prétexte vouloir me bouger pour éliminer tout en promenant notre chien. Ça ne fait pas avancer les choses mais ça me permet de m oxygéner, de me retrouver face à moi même.

J'en ai assez des discussions qui se terminent par l'acceptation de sa surconsommation, de ses effets néfastes puis 1 jour d'effort pour repartir de plus belle.






Québécoise - 04/02/2019 à 14h24

Se concentrer sur le moment présent , ici et maintenant . Ca aide blunk

J'ai remarqué que j'ai parfois tendance a exagéré et anticiper des situations au negatif. Les faits et non ce que j'ai peur qui arrive .

Ceci est arriver qq fois , donc je prend maintenant la
Decision de .... axcepté mes decisions . J'ai remarqué que je me
Positionnne et apres je suis en colere , alors que c'etait mon choix .

A tous mes choix il y a des consequences et responsabilités hhaha. Je le dis tellement a mon fils pourtant

Et qd on plante une graine ce n'est pas tout de suite qu'on va manger le fruit mur blunk .

Je partage ca me permet de renforcir ca
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Profil supprimé - 07/02/2019 à 14h17

Bonjour, jai passé l'étape d'en parler, aujourd'hui.

Cela fait 4ans que nous sommes ensemble avec mon homme. Nous sommes tombés amoureux tout de suite, et ses enfants m'ont adopter également. J'ai toujours donner le meilleur de moi-même..
Nous nous sommes battus pour avoir la garde et nous l'avons eu ! Mon homme a très mal vécu ce combat avec les avocats, pendant plus de deux ans.
Lorsque nous nous sommes rencontrés il traversait une 'mauvaise passe alors il buvait. Mais c'était l'été, il fesai beau, les copains les barbecues.. je me suis dit que c'était il passade, qu'il avait besoin de décompresser.
Mais le temps à passer. Il buvait toujours plus.. et il y avait de moins en moins de copains pour l'accompagner. Il me disait que c'était le stress du jugement des enfants, alors je ne voulais pas en rajouter une couché. J'ai laissé faire.
Puis lorsque nous avons gagné la garde. Il sais calmer un petit peu.. mais à chaque début de mois, à chaque weekend, à chaque fois qu'il veux bricole, il faut boire. Alors j'ai essayé de lui en parler, un jour ou ça se passait bien, un jour où il ne buvait pas. Mais en vain... Aujourd'hui je ne sais plus quoi faire. Je le vois ce détruire à petite feu.. ça me fait mal. A chaque gorgé nous nous éloignons un peu plus. Nous en avons parlé, je lui est expliqué ce que je ressentais de tout ça. Et il la compris.. il s'est excusé, et il n'a pas bu de toutes la semaine... Seulement vendredi soir est arrivé, alors bon je n'ais rien dit, j'ai serré les dents. Et je Luis est dit que j'étais contente de ses efforts. Mais hier il reçu ces sous alors rebelote, les bonnes résolutions oublié, le mal que ça fait oublier aussi.
Je ne supporte plus son regard, ca façon de rire et de se moquer de tout , il deviens blessant. Je ne peux plus dormir avec lui quand il a bu.. l'odeur en devient insupportable.. je ne sais pas où aller, je ne sais pas à qui en parler, mon entourage me repet sans arrêt les même discours, mais j'ai honte.. alors je fait bonne figure. Mais je suis fatiguée de m'occuper de tout, jaime ces enfants mais je n'ais plus la force..

Québécoise - 07/02/2019 à 16h48

Bonjour M35 blunk

Bienvenue sur ce cite , tu y trouveras reconfort , compréhension et plusieurs partage de personnes dans notre situation. Aimer et rester avec un alcooliquep n'est pas un choix facile .

Je ne sais pas si tu es ouverte a aller voir des personnes qui sont experte avec le fait d'aimer un alcoolique .

Il y en a partout a travers le monde , dans pratiquement toutes les régions du globe. Ca s'appel ALANON . On aimerait que ca change et qu'il ou elle change . Ils le disent et souvent les ( bottines ne suivent pas les babines) comme on dit ici blunk .

Tu peux te documenter sur le sujet ca aide , va lire ce que les consommateurs ecrivent , ici , sur le cite.

C'est tres special tout ce que ca inclu . Dans les anciens livre des alcoolique anonyme il etait question de 8-10% de la population qui souffre cette dependance. Ici les statistique , viennent de sortir que se serait 25-30% .

On est pas seule , ca c'est certain blunk c'est des etre tellement charmant et intelligent , on voudrait qu'il arrete ca , prc sans ils semblent presque parfait .

Mais c'est pas comme ca que ca fonctionne malheureusement . Le seul pouvoir qu'on a vraiment c'est sur soi-meme . Et c'est un long apprentissage de commemcer par soi. Qd on est destabilisé par les consequences de la dependance.

Je te comprend , il y a pleins de trucs pour ameliorer la relation. Ca se fait petit a petit blunk
Courage x

Profil supprimé - 25/02/2019 à 17h33

Quid de traverser la rue et de trouver un homme, une femme équilibré-e, ne pas trainer ses enfants dans une vie sordide, perdre l'estime de soi.. Rassurez-vous, votre alcoolique sera toujours là, personne ne vous le (la) reprendra , si la soumission vous traverse l'esprit et vous envisagez une reprise du calvaire.

Profil supprimé - 28/03/2019 à 17h44

Bonjour ce fil est très intéressant et l'importance qui en découle est de prendre soin de soi de s'écouter et de savoir quelle vie nous voulons pour nos enfants et pour nous même.
Je ne peux comme certaines espérer quelques moments de bonheur avec mon ami alcoolique et dépressif, pas de week end en amoureux, pas de moments pour se retrouver et se dire que ça en vaut la peine
Il a toujours été attiré par l'alcool de par sa culture et de par son goût pour la fête mais depuis 3 ans il ne contrôle plus rien c'est l'alcool qui le contrôle
Perte d'emploi, perte de personnalité, je ne reconnais pas cet homme devenu menteur et manipulateur de par son alcool .
Je ne reconnais pas cet homme qui ne se souci plus de ses enfants ni de sa femme ni de lui même.
Ce combat on ne peut le gagner seule , il n'y a qu'eux qui peuvent le gagner .
Alors prendre soin de soi , ne pas se laisser emporter par ses émotions, ne pas se sentir coupable et fuir si c'est la seule solution possible pour retrouver une vie normale tout simplement.
Mon ami est actuellement hospitalisé j'ai dû l'emmener aux urgences une fois de plus et cette fois il a décidé d'y rester .
J ai refusé le sevrage à la maison, je refuse son retour prémédité comme il l'a souhaité à chaque fois .
Je ne le force pas à se soigner mais il ne me forcera pas à subir cette maladie devenue un calvaire .
Je reprends les rennes de ma vie et je lui laisse le choix de reprendre les siennes en acceptant ou non de se faire accompagner.
Ce que l'on gagne dans ce combat c'est du courage et de la force mais on ne gagne pas d'amour ni de bonheur tant que la personne ne veut pas s'en sortir
Le temps passe prenez soin de vous et de vos enfants

Profil supprimé - 31/03/2019 à 16h57

Bonjour,

Je viens de m'inscrire sur ce site et tous vos commentaires, experiences et conseils résonnent comme un écho à ce que je vis (je suis de celles qu'on appelle les co-dependantes). En vous lisant je me sens comme un peu "soulagée" de voir que ce n'est pas moi qui dramatise ou qui me fait des films comme on dit. Car oui même si j'ai pris des années à le reconnaître, l'alcoolisme de mon conjoint est un "poids" pour ma santé mentale voir physique que je n'en parlais pas car pour moi c'était MOI le problème.

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